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[Avis-Test] Hitman 3

31/01/21

Posté par DarkScuderia dans Test / Fast Review

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Haaaa Hitman, cette série où je recommence des dizaines de fois chaque mission pour tenter plein de possibilités, ou à contrario m’arracher les cheveux sur les différents contrats.  C’est avec un grand plaisir que je me plonge dans ce troisième opus de cette nouvelle trilogie.  Replonger dans cette addiction deux bonnes années après la sortie du 2 est très agréable et le fait de pouvoir importer toutes nos données et les maps des deux premiers est un plus non négligeable pour ceux qui comme moi sont un peu accrocs à cette licence.

Le scénario des Hitman n’a jamais été d’une grande profondeur et ce troisième opus reste dans cette lignée et franchement, ce n’est pas plus mal.  Personnellement, je ne joue pas à Hitman pour avoir une grande histoire, celle proposée me suffit, d’autant plus que chaque carte propose sa propre histoire et son backgroung plutôt bien écrit.  C’est bref, rapide et on entre de suite dans le vif du sujet!

Comme toujours le truc le plus jouissif dans Hitman, au-delà des multiples choix de meurtres ou d’intrigues, c’est clairement la première découverte d’une map: le moment où tu es plus en position d’observateur que de prédateur, j’adore cet instant où tu ne connais rien des lieux et que tu dois étudiez les moindres mouvements des gardes mais également le level desing pour savoir quoi faire au moment opportun.  Et c’est cette rejouabilité que je recherche avant tout dans un Hitman plus que son scénario.

 

On commence Hitman 3 avec une mission à Dubaï au sommet d’un immense hôtel  touchant les nuages pour y assassiner deux cibles faisant parties de l’organisation Providence, Carl Ingram et Marcus Stuyvesant.  Une première mission assez basique dans un lieu renfermé, mais qui en reste très intéressante.

J’ai bien aimé la petite enquête pour trouver le meurtrier de Zachary lors de la mission à Dartmoor en Angleterre.  Notre cible ici est Alexa Carlisle, mère de la famille présente et également liée à Providence.  Une mission qui offre vraiment une nouvelle approche.  Par contre, ce n’est pour moi pas ma carte préférée, elle est trop sombre et le manoir est un véritable labyrinthe..

Ensuite, direction Berlin avec son introduction telle un bon vieux film d’horreur pour au final débarquer dans une grosse boite de nuit qui réside dans une centrale nucléaire désaffectée. Dans cette mission nous devrons traquer une dizaine d’agents et les tuer avant qu’ils ne nous démasquent.  Une course à la mort en aveugle et sans soutient.

On pasrt maintenant en direction de Chongqing en Chine avec son ambiance limite futuriste/Cyberpunk avec des ruelles illuminées par des néons et son laboratoire génétique.  Visuellement pour moi c’est la plus belle des maps.  Encore une fois ici deux cibles s’offrent à nous, Hush et Imogen Royce qui sont tous deux liés à l’ICA et leurs serveurs en ligne.  Une map très bien pensée qui nous permet de tester pleins d’opportunités, d’ailleurs il y en a une qui offre un double kill rapide et en costume classique!

Enfin, Mendoza en Argentine qui offre un joli rebondissement dans le scénario.  Cette mission se passe dans un grand vignoble avec une belle villa.  On doit y assassiner Tamara Vidal et Don Archibald Yates mais il faudra également faire attention que Diana, notre acolyte reste en vie au terme de notre contrat.  Une mission particulière qui offre une tonne de possibilités.

Pour finir dans les Carpates en Roumanie pour une toute petite mission se passant dans un train.  Vraiment pas passionnante et surtout limite zéro rejouabilité, mais elle offre un joli final pour conclure ce titre.

Chaque carte est encore une fois immense et permette d’être créatif.  Je me réjouis de voir arriver une tonne de contrats escalades ou classiques, j’espère que la communauté sera comme toujours créative et offrira de bons challenges à accomplir.

Au final, le Gameplay n’a pas vraiment évolué, on reste sur les bases solides qu’a fondé Io Interactive et ce n’est pas plus mal.  Seul nouveau véritable gadget dans la série, un téléphone permettant de faire des photos, de scanner certaines choses ou de pirater quelques matériels.  Rien de bien fou mais ça a le mérite d’être là et d’offrir de nouvelles choses.

 

   

Graphiquement, Io Interactive a encore fait du bon boulot malgré un moteur graphique vieillissant.  Hitman 3 est propre et tourne sans aucune fioriture.  Par contre, les cinématiques font un peu vieillottes, mais elles ont le mérite d’exister et d’approfondir la narration.  Le jeu tournait très bien même lorsqu’il y a énormément de monde et même si techniquement ce n’est pas une prouesse il y a des lieux vraiment superbes avec de très beaux jeux de lumières.  J’ai juste un un ou deux soucis de scripts qui restaient bloqués.

Pour la bande sonore, on est toujours sur de la VO sous-titrée avec une musique qui se fait très discrète.

En conclusion, on a ici un excellent final pour cette trilogie Hitman.  Io Interactive ne bouleverse rien dans cette licence et reste fidèle à ses acquis.  Il est certain que, si comme moi vous adorez cette licence, vous vous ruerez sur ce Hitman 3 les yeux fermés.  Pour ceux qui veulent tenter ce genre de jeu, vous pouvez y aller il y a assez de modes de difficultés et d’intrigues à suivre que le jeu en devient assez simple d’accès.  N’oubliez pas non plus qu’il y a la possibilité d’avoir toute la trilogie en une.

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avis, Hitman, Hitman 3, IO Interactive, review, Square Enix, Test, Xbox Serie X

[Avis-Test] Immortals Fenyx Rising

7/12/20

Posté par DarkScuderia dans Test / Fast Review

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Avec Immortals Fenyx Rising, Ubisoft nous propose une nouvelle licence très colorée sous le signe de l’aventure.  Un jeu qui, pour ma part, n’était pas passé inaperçu lors de sa présentation.  Un style assez inhabituel pour Ubisoft qui restait sur ses acquis avec de grosses licences phares.  II me tardait d’enfin pouvoir mettre la main sur ce jeu qui me semblait très rafraichissant!

L’histoire débute avec un gros cataclysme qui libère Typhon, un monstrueux Titan de la mythologie Grecque.  Son arrivée sur Terre n’annonce rien de bon : Il éradiquera les humains en les pétrifiant et s’occupera des Dieux présents en transformant certains d’entre eux.  C’est dans un décor de fin du monde que Zeus va chercher son frère Prométhée pour décider d’une stratégie pour venir à bout de cette monstruosité.  Ils décideront tout-de-même de laisser Fenyx, seul héros n’ayant pas été changé en pierre, pour s’occuper de cette catastrophe.  C’est sous les traits de ce héros, accompagné d’Hermès , que notre aventure va démarrer et notre  tâche sera longue et ardue.  Une histoire assez basique sur le thème de la mythologie mais, là où Immortals Fenyx Rising se démarque clairement, c’est sur le ton humoristique qu’il y a tout au long de l’histoire et de notre avancement.  Et puis bon il faut l’avouer, avoir Lionnel Astier comme narrateur dans la peau de Zeus est vraiment agréable.

 

En voyant les trailers de Immortals Fenyx Rising, même si le jeu me tapait dans l’oeil, j’avais tout de même peur que son gameplay soit un peu trop ressemblant à un Assassin’s Creed avec son système de quêtes , mais il n’en est rien. On a une réelle nouvelle licence qui change totalement. Certes, en plus de la trame principale, on retrouve une tonne d’activités et de coffres à collecter sur la map mais ici je n’ai pas retrouvé cette sensation de saturation tant tout tombe presque inconsciemment à nos pieds en avançant tranquillement.  On passe naturellement d’une quête principale à une mission secondaire ou une tâche héroïque tout en trouvant sur notre chemin des coffres, des énigmes sous forme de fresques, de constellations voire même des musiques à reproduire sur une Lyre.  On a également beaucoup de cryptes du Tartare dans lesquels nous retrouvons des défis sous forme d’énigmes ou de zones de combats  avec à la clé, une fois finis, de bonnes récompenses.  Et si vous pensez que c’est tout, que nenni, il y a également des défis sous forme de speedrun à pied et dans les airs et des courses d’obstacles à acheminer avec notre flèche.  Un contenu assez colossal au final mais assez éclectique pour nous tenir en haleine de longues heures pour ceux qui sont complétionistes.  Le jeu vous demandera d’être patient sur un grand nombre de séquences de plateforme, aussi bien du côté de l’observation du terrain que de vos timings qui sont parfois très justes.  En tout cas, on est clairement sur un Zelda Like.  Quoiqu’il en soit, après une trentaine d’heures de jeu, le scénario est fini mais je suis loin d’être à 100%, il y a vraiment de quoi s’occuper.

Qui dit jeu d’aventure chez Ubisoft dit RPG. On a du coup bien évidemment toute une note très RPG avec un arbre de compétences et autres bonus à débloquer.  Certains se débloqueront en gagnant des ressources sur votre route, d’autres seront débloqués en avançant dans le jeu et en sauvant les divinités Athéna, Aphrodite, Arès et Héphaïstos.  Les combats sont ultra dynamiques et profitent très certainement de l’expérience du studio sur les Assassin’s Creed avec son propre style.

 

   

Graphiquement on est dans un style purement animation 3D à la Pixar du plus bel effet.  L’univers est très lumineux et coloré avec son côté cartoon et sur Série X, le jeu est sublimé, ne souffrant d’aucun défaut.  On a pourtant énormément d’effets de lumière et de particules en combat et le jeu ne bronche jamais et reste stable et fluide.

Concernant la bande sonore, j’ai bien aimé la VF avec beaucoup d’humour ce qui colle très bien au ton donné en jeu.  Par contre petite déception pour la musique, j’aurais aimé des thèmes plus épique. Ici c’est assez basique et on oubliera assez rapidement la BO.

En conclusion, certes on a ici un jeu qui ressemble énormément à Zelda Breath of the Wild mais, qui pour ma part, ne me dérange absolument pas vu que je ne possède pas de Nintendo Switch, c’est même plutôt cool d’avoir ce style de jeu sur Xbox Série X!  Certes, les possesseurs de Switch ne verront pas de grand intérêt dans Immortals Fenyx Rising mais ceux qui comme moi n’ont pas cette console, seront ravis.

Pour moi c’est une très bonne surprise pour cette fin d’année!

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[Avis-Test] Little Hope

26/11/20

Posté par TheWiteA dans Test / Fast Review

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LIttle Hope est le deuxième volet de l’univers de the Dark Pictures Anthology développé par Supermassive Game et édité par Bandai Namco. Tout comme le premier volet, c’est un jeu type survival horror en film interactif. Disponible sur Playstation 4, Xbox one & PC

J’éteins les lumières, je me pose devant mon écran et je lance le jeu. J’ai déjà fait le premier, mais pas besoin de ça pour comprendre l’histoire de Little Hope, je sais plus ou moins à quel genre de jeu m’attendre. Je suis déjà dans l’ambiance, ce soir je ne joue pas seul, une petite « soirée TV » comme ils appellent le jeu en multijoueur local. Le jeu commence et nous présente quelques personnages qui, comme dans le premier épisode, vont avoir un destin funeste. Une sorte de tuto pour nous apprendre que chacun de nos choix ou non choix ont ou auront un impact à l’histoire. Puis le Narrateur intervient. L’homme mystérieux à la voix française de Morgan FREEMAN nous introduit alors sur le premier chapitre de notre histoire.

 

Nous incarnons alors cinq personnages après un accident de bus à proximité du petit village de Little Hope. Et, très rapidement, l’ambiance me fait penser au film Blair Witch. On pouvait s’y attendre en voyant la petite poupée de bois sur la couverture du livre que le Narrateur a sorti plus tôt. Ce lieu cache bien des secrets et des dangers pour vos personnages. Vos choix risquent fort de sceller leurs destins. L’histoire est prenante et on voudrait vraiment que tous nos personnages survivent à cette nuit. Pour cela, certains indices ou visions vous permettent de voir un avenir possible, souvent lors d’un choix primordial. Certains détails peuvent aussi vous aider mais ils vous aideront mieux lors de votre prochain essai car vous ne comprendrez pas tout et le jeu, bien entendu, ne vous aidera pas.

J’ai fait le jeu deux fois avec deux personnes différentes, en local et en ligne. Et alors que je connaissais grossièrement l’histoire, j’ai plus eu peur la deuxième fois, en local simplement car la personne à mes côtés était très sensible aux éléments effrayants de Little Hope. Et sincèrement, c’était encore plus prenant ainsi, quant à côté de vous sursaute ou crie votre bien-aimée en vous saisissant le bras. Même si le coté en ligne vous permet parfois de ne pas voir tout un pan de l’histoire et donc de conserver de grosses parts d’ombre. Le Local, quant à lui, partagé avec des proches ou des amis vous permet de mieux prendre à cœur les choses et de vous sentir vraiment investi concernant le sort de votre ou vos personnages jusqu’à s’en vouloir de la mort de certains, même plusieurs jours après. J’aurais dû faire ça, j’aurais dû réussir ce QTE, j’aurais dû répondre ça… Tant de petits détails qui vous feront certainement lancer le jeu encore une fois. Mais les choses pourraient être différentes cette fois. Mais que sauvons-nous dans ce cas-là ? Notre conscience afin de se dire que nous ne sommes pas responsables de tous ces morts ?

 

Little Hope est un bon film interactif. Bien entendu, il ne faut pas être allergique aux QTE. Si ni l’un ni l’autre ne vous effraient laissez Little Hope tenter sa chance pour vous faire peur. Comme un film, ce n’est pas forcément le genre de jeu que vous allez faire 10 fois d’affilée. Certains d’entre vous le verront une fois et ne voudront plus le refaire, estimant soit en avoir fait le tour, soit car l’histoire qui vous a été contée vous est maintenant personnelle. Mais vu que le jeu peut se vivre à cinq, rien ne vous empêche de payer une partie chacun comme on paie un billet de cinéma pour un film de 3 à 4h.
Et vous pourrez en plus le faire découvrir à d’autres personnes et vivre d’autres situations. De plus, en mon sens, ce genre d’expérience n’est pas à vivre seul, mais à partager.

Coté graphismes, rien à dire, c’est beau, même si parfois certaines scènes imbriquées les unes aux autres, lors de vos choix, semblent moins naturelles cela ne gêne pas le jeu.  La caméra est gérée à la manière des premiers Resident Evil et pourra vous désorienter un peu. Mais la mise en scène est soignée.

Coté son, les voix françaises sont bien et les acteurs se sont investis dans leurs rôles. J’ai eu néanmoins quelques bugs lors de mes parties : des bruitages absents, ou un passage à la version anglaise des voix sans prévenir. Rien d’alarmant car cela sera certainement très vite corrigé.

Mon seul point négatif serait la surexploitation des jump scares. Je trouve dommage qu’aussi bien dans les films ou dans les jeux d’horreur on exploite uniquement la surprise et le sursaut que cela provoque pour initier la peur chez le spectateur. De mon point de vue, cela est facile et ne représente pas l’horreur. Alors certes, ça vous surprend mais une fois passé il n’y plus de peur juste une crainte de tomber sur un autre de ces jump scares. Ce n’est alors plus le film ou le jeu qui fait peur, mais la mécanique. En mon sens, cela dessert l’histoire en générale.

 

Pour conclure, The Dark Pictures Anthology : Little Hope est, comme dit plus haut, un bon jeu, ou plutôt un bon film interactif. A faire à plusieurs et à refaire avec d’autres personnes. J’ai vraiment aimé cette expérience et je pense le refaire à nouveau une prochaine fois. D’autres personnes, d’autres choix, une autre histoire.

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avis, Dark Pictures Anthology, Little Hope, namco bandai, Supermassive Game, Test, Xbox One, Xbox Serie X

[Avis-Test] Assassin’s Creed : Valhalla

16/11/20

Posté par DarkScuderia dans Test / Fast Review

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Ubisoft revient avec sa licence phare.  Après l’Egypte et la Grèce, nous voici plongés en Angleterre pour une grosse conquête viking dans Assassin’s Creed Valhalla.  Comment vous dire à quel point j’avais hâte de jouer à cet opus, retrouver cette licence dépaysante que j’ai toujours adoré alliée à l’univers des Vikings que j’ai toujours apprécié, cela ne pouvait former qu’un combo gagnant pour moi

On démarre l’histoire sur une longue introduction en Norvège où l’on incarne Eivor.  Il voit son père et sa mère mourir de la main de Kjotve le Cruel lors d’un raid sur son village.  Il s’enfuit alors avec son frère Sigurd alors qu’un gros combat massacrant son clan démarre.  Une fois adulte, après quelques mésaventures en Norvège, on partira vers l’Angleterre pour trouver des terres à coloniser pour prospérer dans ce pays.  Cela ne sera pas aisé de détrôner les rois déjà en place sur ces terres qui ne sont pas spécialement ravis de voir ces barbares débarquer chez eux, mais on a avec nous de fiers combattants pour y arriver.

Parallèlement à l’histoire de nos bons vikings, on suivra encore également Layla Hassan, chercheur d’Abstergo dans le présent.  Ce n’est pour ma part pas la partie la plus agréable des Assassin’s Creed, mais il faut avouer que ça permet de garder un fil conducteur entre chaque épisode.

 

Concernant le gameplay, il n’y a pas grand chose qui change depuis Odyssey: on est toujours en présence d’un jeu qui se veut très RPG.  On y retrouve du coup l’arbre de compétences améliorables sur trois axes (corbeau, ours et loup) qui correspondent un peu à la discrétion, la puissance du corps à corps et le combat à distance.  Il y a également la possibilité d’équiper jusqu’à huit aptitudes qui se déverrouilleront au fil du temps ou lors de vos  explorations.  Du coup comme toujours dans un Assassin’s Creed, on peut choisir notre approche lors d’un combat, soit totalement en mode sneaky et ainsi prendre par surprise nos adversaires ou scruter le terrain à l’arc voire même y aller comme un gros bourrin et dégommer tout le monde à coups de haches et d’épées.  Comme pour Odyssey, nous pouvons choisir le sexe de notre Héros ou laisser l’animus choisir lors de certains évènements le sexe que notre personnage aura, le pourquoi de ce choix de sexe est très vite expliqué dans le jeu.  En parlant de l’animus, sur la carte du monde en plus de toutes les quêtes et activités annexes, il ya quelques anomalies de l’animus qui pour ma part étaient plus embêtantes qu’autre chose à faire.  Assassin’s Creed oblige, on croisera rapidement deux membres de l’ordre des assassins pour nous guider et nous initier à nos futurs contrats contre l’ordre qui regroupe un grand nombre de cible à atteindre.

Un truc sur lequel j’ai eu beaucoup de mal dans ce Assassin’s Creed Valhalla.  Le fait qu’on incarne un Viking.  Je n’ai pas vraiment réussi à me mettre dans la peau d’un assassin qui doit jouer de ruse et de discrétion pour arriver à ses fins.  Là j’étais tout au long en mode Berserker avec mes deux haches à démembrer mes ennemis à tour de bras.  D’ailleurs, pour les combats on a un large choix de combinaisons, on pourra très facilement passer d’un combo 2 armes, une arme et un bouclier, une arme lourde voire même après avoir débloquer la compétence, deux armes lourdes pour un massacre garantit!  Plusieurs types d’arcs et d’armes nous sont également offerte.  Par contre il y a clairement moins de choix que dans les précédents opus, cela dit, Valhalla compense sur le fait que le skin de nos équipements changent au fil des améliorations.  Qui dit Viking dit forcément pillage et on a un bon paquet de villages et de monastères à prendre d’assaut pour augmenter notre richesse et ainsi améliorer notre village.  Pour les plus acharnés et les complètionistes il faudra vous armer de patience car il y a encore une fois dans un Assassin’s Creed une tonne d’objets, mystères et artefacts à dénicher.

En plus de l’Angleterre et la Norvège, on aura aussi la possibilité de parcourir Asgard et de passer sur le bifrost!  Petit plus appréciable afin de parcourir en vitesse la mythologie nordique.

 

   

Graphiquement, je suis heureux d’avoir patienté avant de trop avancer dans ce jeu pour m’y mettre à fond sur la Serie X.  On a un réel gap graphique et surtout qu’est-ce que c’est fluide sur cette console, rien à voir avec la One.  Le monde est encore une fois superbement retranscrit, que cela soit en Norvège ou en Angleterre on est immédiatement plongé au Moyen-âge.  Les jeux de lumière et effets météo et les réflexions sont superbes (petit bémol pour les effets de feu qui ne sont pas fous).

Les musiques du jeu sont juste sublimes, elles nous font voyager au coeur de cette époque hostile.  Par contre, pour une fois j’ai préféré la VF à la VO, c’est assez rare qu’il est important de le noter.

En conclusion, comme vous pouvez vous en douter, j’ai adoré ce Assassin’s Creed Valhalla.  Le gameplay RPG/Aventure fonctionne toujours aussi bien et l’univers créé est encore une fois immense et donne toujours envie après plusieurs dizaines d’heures de jeu de l’explorer de fond en comble.  Je regrette peut-être justement que cet univers n’ait pas plus de petits évènements dynamiques lors de nos explorations (un peu comme on pouvait en avoir dans RDR2).  En tout cas, si vous aimez cet univers ou que vous êtes simplement fan d’Assassin’s Creed, foncez, cet opus est vraiment bon.

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Assassin's Creed : Valhalla, assassins creed, avis, review, Test, Ubisoft, Viking, Xbox Serie X

[Avis-Test] Mad Rat Dead

13/11/20

Posté par TheWiteA dans Nintendo Switch

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Mad Rat Dead développé par Nippon Ichi Software America (NIS America), est un jeu qui mélange le jeu de plateforme au jeu de rythme. Disponible sur PS4 et Nintendo Switch.

Le jeu commence par vous poser quelques questions auxquelles vous devez répondre par oui ou par non. Tout cela se déroule alors qu’un rat s’apprête à subir une vivisection dans un laboratoire. Vous êtes morts, et alors que les remords assaillent votre personnage, apparait devant vous un rat, ou plutôt une rate, une chevelure verte surmontée d’un chapeau violet comme une tenue qui fait penser à celle d’un magicien. Cette dernière se présente comme la Déesse des rats et vous vient en aide. Elle vous donne alors la possibilité de revivre votre dernier jour afin de réaliser votre souhait le plus cher, cela dans le but de vous faire accepter votre mort et ne plus avoir de regret. Votre seul souhait étant alors de faire passer de vie à trépas l’humain qui a fait de vous cette coquille vide que vous êtes. Vous vous concentrez alors sur les battements de votre cœur vous sentez son tempo comme jamais auparavant et votre corps semble agir de concert avec ce dernier en vous redonnant vie.

 

A peine remis sur pattes, vous semblez entendre des voix, celle de votre cœur. Vous vous étonnez alors de pouvoir parler avec lui, êtes-vous en train de devenir fou ? Lui-même vous le dira vous êtes un vrai « Mad Rat » ! Le rythme de ce dernier sera votre mélodie dans cette aventure alors que vous partez en quête de votre rêve d’homicide. Mais comment un petit rat pourrait venir à bout d’un homme ? Vous avez beau perdre la tête, vous n’êtes pas encore totalement barré. C’est pour cela que lorsque vous croisez vos semblables vous essayerez de les raisonner afin d’en faire vos alliés pour arriver à votre fin. Malheureusement certains se complaisent de cette situation, ce qui a tendance à agacer votre avatar.

 

Sans trouver d’accord avec ces déchets, vous continuerez votre aventure dans une illusion qui berce vos pas vers votre rêve. Mais vous êtes confiant, car même si vous échouez vous avez la possibilité de revenir en arrière indéfiniment grâce à l’horloge de votre cœur. Mais vous n’avez que jusqu’à ce soir pour réaliser vos sombres désirs. Mais est-ce bien à votre portée car le chemin que vous emprunterez sera alors parsemé d’obstacles.  Arriverez-vous à terme de cette folle quête, ou parviendrez-vous à vous échapper de vos propres fantômes. Vous laisserez-vous dominer par cette haine ou trouverez-vous enfin l’harmonie ? Suivrez-vous le fromage ? Attention car les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être.

NIS America nous propose avec son Mad Rat Dead un jeu bien particulier avec ce mélange de genre peu commun. Le coté cartoon de ses personnages et de son univers apporte une patte plutôt agréable et en opposition avec les sujets qu’il évoque. Il peut s’avérer difficile dès le début pour des non-initiés mais, petite astuce pour ne pas perdre le rythme, il ne faut surtout pas s’arrêter d’appuyer sur les touches d’actions, même quitte à faire du sur place afin de réfléchir à comment réussir certains passages. Le jeu emprunte un peu au genre Die and Retry, car il vous faudra mourir pour ensuite anticiper certains pièges et encore plus contre les boss.

 

Coté Gameplay, Mad Rat Dead vous propose quatre actions par le biais d’autant de touches qu’il faudra donc appuyer à l’unisson de la musique pour optimiser leur portée et leur rapidité. Il y a donc un dash, un saut, un plongeon et une charge. Il faudra alors combiner ces actions afin de venir à bout de chaque niveau. Certains obstacles vous serviront à rebondir dessus afin d’atteindre des lieux plus éloignés. Mais attention certains vous tueront directement. Lorsque vous mourrez, une horloge en forme de cœur apparait vous permettant de revenir en arrière autant de fois que vous le voulez ou que vous le devez. Vous n’avez pas de vie, la seule façon d’avoir un Game over étant de ne pas passer la ligne d’arrivée avant la fin du temps. Bien que vous remontiez le temps, le Timer du niveau lui ne fera que descendre. Pour terminer un niveau à 100% et obtenir la meilleure note possible il faudra bien entendu le terminer le plus rapidement possible en vous aidant sur votre parcours des petits triangles qui guideront votre trajet. Il faut aussi faire le plus de « Great » d’affilée possible afin d’avoir un compteur de combos élevé.

Concernant le cœur d’un jeu de rythme les musiques sont très entrainantes et donnent envie de bouger la tête en cadence. Malheureusement, vu que vous risquez de mourir régulièrement elles seront souvent coupées afin de pouvoir revenir en arrière. Les niveaux pouvant être parfois un peu longs, certains thèmes vous paraitront quelque peu redondants car la musique reste bien entendu la même tout le long du niveau et du coup tourne en boucle. Mais il est tout de même possible d’écouter chaque piste débloquée grâce au menu « sound checks ». Ce dernier vous proposera en plus de jouer le rythme sans la partie plateforme, personnellement j’aime beaucoup.

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