Archives pour janvier, 2014

Une édition collector et un trailer de fou pour The Elder Scrolls Online
29/01/14
Cette édition collector estampillée « Imperial Edition » de The Elder Scrolls Online est déjà disponible en pré-commande sur le site officiel pour 99,99€ en version boite et 79,99 pour l’édition collector en version digitale. D’ailleurs, ceux qui sauteront le pas en pré-commandant, auront la chance de recevoir en plus quelques bonus dont un familier, quatre cartes au trésor et un accès anticipé.
L’Imperial Edition de The Elder Scrolls Online comtiendra :
- La figurine de Molag Bal. Une figurine de 30 cm représentant Molag Bal, le prince Daedra de la domination et de l’asservissement.
- Le guide impérial de Tamriel. Un guide illustré de 224 pages, rédigé par Flaccus Terentius, érudit impérial.
- Une carte de Tamriel. Une carte imprimée de 53,3 cm x 66 cm détaillant les zones contrôlées par chaque alliance, ainsi que leur objectif ultime : conquérir la province de Cyrodiil.
- Un coffret Collector Steelbook™ exclusif. Un coffret métallique aux couleurs des Impériaux.
- Le pack exclusif de contenus dématérialisés :
- La race impériale jouable : Jouez un Impérial dans l’alliance de votre choix. Bénéficiez de bonus, de nouveaux styles d’artisanat, d’accessoires uniques et bien plus encore.
- Le cheval impérial blanc : Faites appel à cette monture exclusive pour voyager à travers Tamriel à la vitesse de l’éclair.
- Le vasard de compagnie : Explorez Tamriel avec ce familier unique à vos côtés.
- Les anneaux de Mara : Procédez au rituel de Mara avec un ami et recevez un bonus d’expérience lorsque vous jouez ensemble.
C’est bien parce que je n’adhère pas au modèle économique de jeu avec abonnement (je m’en mord encore les doigts avec mes 2 ans d’abonnements et même pas 6 mois de jeux sur Star Wars : The Old Republic) sinon j’aurais déjà franchi le pas des pré-commande. En tant que grand fan de la licence The Elder Scrolls, l’artbook et la statue me botte bien.
Ensuite, Bethesda nous offre un superbe trailer qui reprend la cinématique du jeu de plus de huit minutes, elle est vraiment réussie!

[Avis-Test] Max : The Curse of Brotherhood
24/01/14
Max : The Curse of Brotherhood adopte un style très proche de limbo dans ses mécaniques de jeu assez punitives. Un bon die and retry comme on les aime, on découvre tout les pièges au dernier moment où nous serons la proie d’une créature à l’apparence toute mignonne mais non moins féroce lorsqu’il est question d’éradiquer le pauvre Max, le hero de ce jeu ou d’une chute inattendue. Les différents pièges sont d’ailleurs nombreux, mourir manger par une grosse bestiole, brûler ou d’une chute serra votre lot de souffrance, le jeu vous demandera par ailleurs d’avoir de bons réflèxes sur certaines phases de plateformes, une chance pour nous, ces dernières sont agrémentées d’un petit bullet time fort utile. Max aura bien besoin de prendre son courage à deux mains pour aller sauver son pauvre petit frère.
Le gameplay est très sympathique, la clé de celui-ci est surtout basé sur le marqueur « magique » de Max, ce dernier nous permettra de débloquer la plupart des énigmes sous forme de puzzle jump. Au fil des stages, le marqueur nous permettra d’utiliser de nouveau pouvoir et ainsi teramorpher les niveaux pour notre avancement, faire apparaitre une liane ou un tas de terre n’aura jamais été aussi facile. Par contre, ne vous attendez pas à pouvoir faire ce que vous voulez où vous le voulez, le jeu vous imposera d’utiliser tel ou tel pouvoir aux endroits bien définis.
Coté durée de vie j’ai été agréablement étonné de voir qu’il m’aura fallu entre 6 et 7 heures de jeux pour le finir, un bon point pour ce genre de petit jeu de plateformes.
Graphiquement, Max : The Curse of Brotherhood est dans très beau style 2D/3D qui est bien adapté aux jeux de ce genre, et ici il a le mérite d’être très fin et coloré, pas d’alliasing en vue et les textures sont superbes. Le level design en lui même est magnifique, on prend énormément de plaisir à parcourir les différents niveaux qui nous ferons voyager dans le désert, la jungle ou même une espèce de volcan en fusion. Seul petit soucis, j’ai trouvé les chargements du jeu un peu long.
La bande son est convaincante, le jeu est entièrement en version anglaise sous-titrée, j’ai bien aimé les voix de Max et de son petit frère, on s’y attache très vite et on ressent un peu la détresse voir la peur de Max lorsqu’il arrive dans ce monde hostile.
En conclusion, j’ai été séduit par ce Max : The Curse of Brotherhood, j’ai adoré le mix des graphismes très colorés et du gameplay qui ne pardonne pas. Si vous êtes à la recherche d’un bon petit jeu de plateforme qui vous donnera du fil à retordre (sans non plus exagérer car il reste très accessible, surtout grâce à ses nombreux checkpoint), ce jeu est fait pour vous. Je ne peux que vous le conseiller, quitte à attendre une baisse de son prix, ce jeu vaut vraiment la peine d’être fait.