Archives pour juillet, 2015

[Avis-Test] F1 2015
30/07/15
Pour moi la Formule un est la discipline qui demande le plus de concentration et de rigueur dans notre façon de conduire et dans ce domaine, Codemaster maîtrise très bien son sujet! Du coup, après une année sabbatique, c’est avec un plaisir non dissimulé que je peux enfin me remettre dans le cockpit d’une de ces superbes monoplaces avec ce F1 2015.
Au menu des modes de jeu nous aurons le classique championnat du monde, course rapide, contre-la-montre, saison pro et bien sûr le multijoueur. Et le grand perdant de ce F1 2015 est… roulement de tambour, le mode carrière qui a totalement disparu du paysage. Les joueurs qui comme moi rêve d’un mode carrière complet qui nous demanderait de démarrer tout en bas de l’échelle et de se faire un nom et ainsi atteindre l’objectif de l’écurie qui domine le plateau seront déçu de cette perte.
Maintenant ce qu’il faut se dire c’est qu’au final le mode carrière des précédents opus n’était qu’une simple simulation de la même année avec les mêmes pilotes sans aucun changement tout au long de votre carrière, l’un dans l’autre c’était un simple championnat dans lequel on jouait avec un pilote fictif. Enfin, personnellement j’aurais tout de même préféré un peaufinage du mode carrière nous obligeant de démarrer au fin fond de la grille pour gravir les échelons et avec pourquoi pas une gestion des transferts années après années.
Toutes les licences sont toujours bien évidemment au rendez-vous avec un petit bonus sur ce nouvel opus, on aura droit à deux saisons, celle de 2014 et celle de 2015, toujours agréable d’avoir un plus large choix de pilotes et de nouveautés du côté des écuries sur deux ans.
Le gameplay balance entre l’arcade et la simulation, avec une prise en main intuitive et rapide il devrait plaire un large public. L’IA est plutôt bonne mais elle est particulièrement agressive, cela peut ajouter du challenge mais pourra aussi en faire rager plus d’un lors d’un accrochage.
J’ai trouvé ce F1 2015 légèrement plus permissif que les précédents opus, une prise en main qui devrait ravir les joueurs occasionnels mais qui ne plaira pas aux puristes, il faudra d’office désactiver toutes les aides pour avoir en mains une simulation qui nous donne un peu plus l’impression d’être dans le cockpit d’une F1. Le must étant le mode « saison pro ».
Les différentes pannes mécaniques et autres crevaisons inattendues sont toujours au rendez-vous, certes c’est parfois rageant de perdre plusieurs places voir carrément la course sur ce genre d’action, mais cela ajoute tellement de réalisme et de piquant à la course que je ne les enlèverai pour rien au monde.
Graphiquement ce F1 2015 comme pour toutes les autres productions de Codemasters est réussie sans non plus casser la baraque Chose très agréable, le jeu est très fluide et surtout les sensations de vitesse en vue cockpit sont grisantes à souhait. Les modèles 3D sont très fin et les décors ne souffrent de pratiquement aucun alliasing cependant il y a quelques tares techniques qu’en 2015 on aimerait ne plus voir comme un tearing trop présent, j’avoue que quand on est concentré sur sa course c’est assez gênant et ça pique les yeux.
L’ambiance sonore est une belle réussite, le son des F1 est identique à celui que l’ont peut entendre en vrai, c’est-à-dire le nouveau bruit de tondeuse, je regrette tant les bons vieux vrombissements des V8 ou des V6! Seul point noir, je trouve que les conseils que le mécano nous donne ne sont pas assez audible, sa voix est trop basse et qui plus est agrémentée d’un petit grésillement typique des micros en course.
Gros point fort, la vie sur le circuit et dans les stands, c’est quelque chose qu’on avait souvent reproché à Codemaster et là ils ont clairement appris à écouter la communauté, on a une ambiance qui nous plonge dans le cœur de la course, aussi bien du côté des arrêts aux stands que pour le podium voir même sur la grille de départ, tout y est pour plus de réalisme. Il ne manque plus qu’à remettre les interviews de fin de course.
En conclusion, les fans de F1 verrons ici un bon petit jeu qui remplira son taff si vous ne cherchez que le mode en ligne et quelques championnats. Pour ceux qui ne sont pas comme moi à suivre cette discipline à chaque week-end de course, sans son mode carrière vous en aurez peut-être vite fait le tour. Du coup je conseille ce F1 2015 aux fans pur et dur de Formule 1 qui prendront clairement du plaisir à retrouver leurs pilotes favoris. De plus profiter de deux saisons pour le prix d’une est toujours agréable. Je voudrais terminer cet avis avec une grande pensée pour Jules Bianchi qui nous a quitté prématurément et qui aurait certainement pu avoir un baquet chez Ferrari, #ForzaJules!

[Avis-Test] the Elder Scrolls Online
20/07/15
Il est rare que je m’attarde sur un MMO, mis à part Guild Wars, je ne touche à rien de ce type de jeu à vrai dire. Mais lorsque je vois que cette fois-ci cela parle d’une série de RPG que j’affectionne tout particulièrement (les Elder Scrolls), j’ai de suite sauté le pas. Du coup nous allons voir ce que vaux vraiment ce petit Elder Scrolls Online Tamriel Unlimited et son portage console. En tout cas, pour une fois un report aura été plus que bénéfique pour nous les joueurs avec la suppression de l’abonnement mensuel!
L’histoire nous plonge 1000 ans avant ce que l’on a vécu dans Skyrim. Ici nous devront mettre à mal les plans du prince Daedrique Molag Bal cherchant à asservir tout Tamriel. Tout un joli programme nous attend sous le signe des créatures Daedrique et autres joyeusetés.
Comme souvent pour les Elder Scrolls, notre aventure débute au fin fond d’un cachot sordide, ce dernier nous sert surtout de gros tuto pour placer les bases du gameplay. Ensuite vient enfin la création du personnage, dans Elder Scrolls Online, vous ne serez pas perdu si vous êtes un habitué de la séries, vous retrouverez les même types de choix de race et de classe. Mais sachez que vous n’êtes pas limité à ce choix, vous pouvez très bien avoir créé un Mage Argonien par exemple et vous retrouver à améliorer vos statistiques de combat au corps-à-corps et d’armure lourde sans que cela n’entrave votre avancement dans le jeu. Un choix qui en surprendra plus d’un mais qui ravira les puristes, pour une fois dans un MMO on peut avoir réellement un personnage polyvalent.
Ensuite il est grand temps de nous plonger dans le cœur de l’histoire que va nous offrir Tamriel et suivant l’alliance que vous aurez choisi au départ, vous commencerez votre aventure dans la région qui s’y rapporte. On pourra donc démarrer dans les provinces du Nord et de l’Est de Tamriel avec l’alliance Cœurébène qui regroupe les Nordiques, les Elfes noirs et les Argoniens, vient ensuite l’alliance de Daguefilante qui rassemble les Brétons, les Orcs et les Rougegardes situé au Nord-Ouest et finalement dans le Sud de Tamriel nous retrouverons les Elfes des bois, les Khajiits et les Haut Elfes pour le domaine de Aldmeri. Seule la classe Impériale peut choisir son alliance de départ. Beaucoup de choix s’offre donc à nous et il faut également savoir que chaque race a ses propres affinité, que cela soit pour le combat à l’épée ou avec la magie.
J’avais peur concernant le gameplay, un portage à la manette d’un jeu clairement axé clavier-souris c’est toujours un très gros risque à prendre et sur ce coup les gars de Zenimax ont fait un excellent boulot et ont rendu Elder Scrolls Online tout aussi jouable à la manette qu’avec un combo clavier-souris. Par ailleurs, les amoureux de la série des Elder Scrolls seront ravis de pouvoir jouer en vue FPS à leur titre favori. Chose agréable pour tous ceux qui sont un peu rétractères aux jeux en lignes et n’ont pas spécialement envie de faire toutes les missions avec d’autres personnes, le jeu est entièrement jouable en solo, hormis quelques donjons un peu plus hard, tout le reste vous pouvez très bien le faire sans vous occuper des camarades qui vous entourent.
Le gameplay général est quasi identique à celui de Skyrim, aussi bien pour la prise en main lors des combats avec des armes ou avec l’utilisation de la magie, Elder Scrolls Online est clairement plus axé action que la plupart des mmo. Tout comme dans les jeux solo de la série, vous pourrez avoir des choix moraux à faire et surtout vous pourrez utiliser vos sens de la persuasion pour influencer certains Personnages. Je relèverai juste un petit point négatif, les loots bien trop radin, les armes et armures exotiques sont vraiment trop rares.
La durée de vie est juste colossale avec une tonne de quêtes pour la plupart toujours scénarisées avec un maximum de dialogues.
Graphiquement, Elder Scrolls Online est plutôt joli, il faut bien garder à l’esprit que l’on est face à un monde persistant remplis de joueurs, techniquement cela me semble compliqué de faire quelque chose de parfait surtout sur console. Néanmoins, le titre propose une direction artistique très réussie agrémenté de jolis effets de lumière. Comme d’habitude dans cette licence, un soin particulier a été fait sur les armures qui sont très nombreuses dans le jeu et ont toutes leurs styles propre.
En conclusion, Elder Scrolls Online ne proposant plus d’abonnement mensuel est une véritable aubaine, surtout si comme moi vous êtes un fan endurci de la série des Elder Scrolls. Par ailleurs, concernant le changement de modèle économique, n’ayez pas de crainte, ici les seuls achats que vous pourrez faire dans la boutique en ligne sont purement cosmétique, encore un point fort du jeu. En tout cas, pour moi ce fut une très belle découverte ce MMO sur console, pas prise de tête et très riche en contenu.
[Avis-Test] PayDay 2 Crimewave Edition
17/07/15
Ma carrière de braqueur tournait au calme plat, jusqu’à ce que je trouve le crime.net. Il me suffisait d’ouvrir mon ordinateur et de surfer sur cette nouvelle plateforme pour trouver de bon coéquipier afin d’accomplir mes méfaits avec brio. Il ne me reste plus qu’à choisir le bon endroit où je pourrais me faire de l’argent en masse. PayDay 2 Crimewave Edition démarre sur les chapeaux de roue et propose tout ce qu’il vous faudra pour partir sur un braquage inoubliable.
Le Gameplay de PayDay 2 vous demandera d’être dans une équipe organisée afin d’espérer finir les braquages sans accrocs, encore plus si vous décidez de vous attaquer au mode overkill qui ne pardonne pas la moindre erreur! En tout cas pour le comparer au titre qui a connu un énorme succès; GTA V, ici les braquages sont bien plus réalistes et ne finiront pas à coup de lance-missile, la finesse est votre amie. Ici, tout démarre par le repérage des lieux, connaître les déplacements des gardes et la dispositions des différentes caméras est primordial pour commencer un bon braquage. Ensuite vient l’action, on place nos foreuses, brouilleurs, on neutralise vite fait les gardes et caméras ensuite on ligote les civils pour qu’ils ne bougent plus et hop, le casse parfait peu démarrer.
Côté contenu, cette édition Crimewave n’est pas du tout avare avec tout les dlc déjà sortit sur pc inclus dans la galette. Il y a un large choix de braquages ou missions diverses qui permettent de varier les plaisirs. A cela ajoutez le fait que chaque mission est générée aléatoirement, enfin du moins au niveau de la disposition des pnj et des différents coffres ou butins à récupérer et ça c’est juste génial pour la rejouabilité, pour les plus anciens, cela rappelle fortement le même système aléatoire que proposait S.W.A.T. 4 à l’époque.
Au fil des braquages vous gagnerez de l’expérience et de l’argent qui vous permettront d’augmenter vos capacités au gré de vos envies, avec au choix des branches plus axé infiltrations, d’autres qui auront un rôle de soutient tandis que certain choisirons la branche qui privilégie l’action pur et dure. En plus de monter en puissance en mixant au mieux vos arbres de compétences, vous pourrez participer à une mini loterie à la fin de chaque braquage, avec un peu de chance vous débloquerez au mieux des nouveaux masques ou des améliorations d’armes.
Graphiquement le titre est identique à la version PC, on a droit aux mêmes textures assez floues, à côté de ça, les modèles 3D des armes et personnages sont pas trop mal foutu même si le studio Overkill n’a pas pu avoir les licences officielles on reconnaît parfaitement chaque arme. Cependant cette version console de PayDay 2 reste très fluide et ne souffre d’aucun ralentissement même lors des gros assauts de la police durant les braquages un peu plus bourrin.
La bande son est très bonne et vous met de suite dans l’ambiance folle des braquages.
Le multijoueur et surtout la coopération sont le cœur de PayDay 2, vous devez être très organisé avec votre équipe. La rigueur est primordiale pour finir la plupart des braquages sans accroc. Pour ce faire pas trop de crainte surtout si la communauté est aussi bonne que sur PC, le niveau est assez élevé et les joueurs préfèrent régulièrement se la jouer ni vu ni connu je me barre avec le pactole!
Par contre sur la version console « next-gen » il y a un gros soucis que vous constaterez avec l’image en dessous. Le matchmaking est toujours buggué depuis la sortie du jeu. Il est pratiquement impossible de rejoindre une partie ouverte à l’heure où je vous écris ces lignes (sauf si vous êtes patient, en 1 heure vous pourrez avoir de la chance et trouver une ou deux parties viables). C’est d’autant plus décevant que le jeu en lui même est excellent!
Du coup, à moins de jouer avec des amis en partie privée, vous n’aurez pas accès au contenu principal de PayDay 2 Crimewave Edition. Ce ne sont pas les bots aussi réactifs qu’une huître échouée sur la plage qui vous aiderons, au contraire vous aurez vite fait de rager contre eux tant ils sont inutiles. Surtout pour le transport de biens volés, généralement on a quatre sacs, sachant que les bots ne les porteront jamais, vous devrez du coup vous taper quatre fois le chemin pour les amener en lieu sur et ce sans mourir.
En tout cas j’espère pouvoir éditer mon avis le plus vite possible une fois que les développeurs auront corrigé ce problème persistant.
En conclusion, à l’heure actuelle, je ne pourrais conseiller ce PayDay 2 : Crimewave Edition qu’à ceux qui ont des amis avec qui y joué tant que le matchmaking en ligne n’est pas corrigé, le titre étant identique à la version PC hormis le fait qu’il dispose de tout les dlc si vous l’avez sur cette plateforme le choix sera vite fait. Maintenant une fois ceci corrigé, si vous ne possédez pas déjà ce jeu il en vaux vraiment la peine tant le gameplay est viscéral! Cette version de PayDay 2 sans ce bug est une pure bombe remplis à ras-bord de contenu vivement un correctif.

[Avis-Test] Batman Arkham Knight
8/07/15
Le grand retour du chevalier masqué se fait en grande pompe sur nos nouvelles consoles de salon et sur PC. Une chose est certaine, les grosses claques graphiques sur consoles commencent à pointer le bout de leur nez, en effet, après the Witcher 3, voici arriver Batman Arkham Knight qui est juste somptueux, un jeu à s’éclater la mâchoire. Tout les fans des comics de la chauve-souris masquée savent à quel point la série des Batman Arkham est grandiose, et cette suite ne déroge pas à la règle, les fans seront ravis et je vais tenter de vous le montrer!
L’histoire démarre dans un petit bar de Gotham City dans la peau d’un flic qui sera aux premières loges lors de la première attaque de l’Epouvantail, ensuite on nous replonge directement sur la fin du précédent opus avec la mort du Joker. Une petite mise en bouche qui nous met dans cette ambiance bien sombre que seul Batman peut nous procurer!
Batman aura ici fort à faire pour retrouver et stopper l’Epouvantail, ce dernier étant aidé d’une tonne de sbires pour ralentir notre héros. Il ne sera pas seul car entre l’Arkham Knight, le Pingouin, Double Face, Firefly, on aura de quoi s’occuper tout au long de l’histoire qui si vous ne vous occupez que de la trame principale pourra vous prendre une vingtaine d’heures de jeu, si vous vous concentrez sur toutes les énigmes d’Enigma et les missions secondaires vous pouvez facilement doubler ce chiffre.
Au final tous ces grands noms de super-vilains se retrouveront vite au second plan, en effet, on s’attaque surtout contre leurs troupes, car ici, malheureusement, pas (ou très peu, je vous laisserai les découvrir par vous même) de combats de boss comme dans le passé.
Chose amusante dans Batman Arkham Knight, malgré la mort du Joker, les fans seront ravis de le voir débarquer sous forme d’hallucinations, je peux même dire qu’on le croise plus souvent que dans les précédents opus, il sera toujours là pour se moquer de vous ou tenter de vous mettre le moral à zéro. Une chose est certaine, Batman ne va pas bien du tout dans sa tête!
Le gameplay est toujours aussi fun et facile à prendre en main. Les combats qui étaient déjà très rythmés, ont gagnés ici en fluidité et surtout en technicité avec un panel de coups agrandi.
On retrouve tous les gadgets habituels de Wayne’s Entreprise, avec quelques nouveautés comme le synthétiseur vocal qui nous permettra de faire quelques diversions et ainsi donner des ordres aux ennemis, ensuite il y a le brouilleur qui lui nous donnera la possibilité de désactiver les tourelles et armes ennemies pour qu’ils s’auto-détruisent dès leur première utilisation. Autre nouveauté lors de nos déplacements en mode furtif, pendant les éliminations par intimidation on pourra cette fois-ci réaliser des multi-éliminations et ainsi mettre au sol jusqu’à trois ennemis. Les phases d’infiltrations sont par contre nettement moins nombreuses, ce Batman Arkham Knight étant nettement plus axé action que le précédent.
J’avais tout de même une grosse crainte concernant la nouvelle Batmobile et son nouveau mode de combat qui passe en véritable tank pouvant même carrément faire des straf latéraux. Mais malgré tout, après ma petite appréhension sur son nouveau design et sa maniabilité qui m’avait vraiment choqué, j’avoue qu’après quelques heures de jeu j’ai eu vite fait d’oublier son style un peu douteux (R.I.P. Batmobile de Tim Burton) pour finalement apprécier son mode de conduite et son côté char d’assaut. Par contre, le jeu vous poussant régulièrement à utiliser votre Batmobile, comme moi, vous serez certainement nombreux à regretter le gameplay ascensionnel avec le grappin des précédents Batman.
Graphiquement Batman Arkham Knight est pour moi un des plus beau jeu sur console, après the Witcher 3, on est servi et on commence vraiment à enfin sentir une hausse en termes de qualité graphique. Merci aux nouvelles fonctionnalités de captures d’écran de nos nouvelles consoles, bien pratique pour mettre en avant ce que ça donne réellement. Gotham City n’aura jamais été aussi belle et ce malgré la nuit oppressante et cette pluie omniprésente (on se croirait dans le Nord ou en Belgique 😛 ), les textures sont fines et détaillées, les décors fourmilles de détails fort plaisant à regarder.
Les éléments destructibles sont très nombreux et les courses poursuites ont du coup un petit coté film hollywoodien à la Michael Bay, tout casse et explose, c’est vraiment impressionnant et joli à voir.
La bande-son est comme d’habitude magnifique, aussi bien du côté des doublages entièrement en VF dont pour la plupart sont des voix officielles tirées de la série animée que du côté des musiques qui n’ont de cesse de nous plonger dans une immersion totale. Les bruitages sont tout aussi parfaits hormis lors des combats, un côté un peu trop explosif lorsqu’un coup de poing est donné, mais ça ne reste qu’un avis personnel.
Au final, on a ici une conclusion parfaite à la saga des Batman Arkham, tout ici est fait pour que vous gardiez votre pad en main.
Que vous soyez fan ou non de Batman, ce Batman : Arkham Knight est un excellent jeu dont il serait bête de passé à côté. Un gameplay riche et efficace saupoudré d’une réalisation aux petits oignons font de ce titre un must have de ce début d’été.