
[Avis-Test] F1 2016
12/09/16
En tant que fan suivant la F1 chaque année (même si mon écurie fétiche ne brille plus trop depuis quelques années), je suis toujours au taquet lorsque viens la sortie d’un nouveau jeu estampillé Formula One. Après un F1 2015 en demi teinte, voici arrivé son petit frère, F1 2016 qui j’espérais de tout cœur soit meilleur et gommera toutes les imperfections de son aîné. Du coup plongeons dans l’univers de la catégorie reine du sport automobile et je vais vous montrer qu’il a comblé pratiquement toutes mes espérances!
Je vais commencer par le grand retour du mode carrière dans ce F1 2016, c’était pour moi la plus grosse perte de la version 2015 et c’est avec un bonheur non dissimulé que je vois débarquer cette carrière. Je peux enfin assouvir mon désir de voir un pilote belge partir de la grille de départ et anticipé d’un an en avance le scénario que l’on pourrait voir avec Stoffel Vandoorne, pilote national qui démarrera sa carrière en F1 l’année prochaine chez Mclaren. Surtout que ce mode carrière est très complet avec la possibilité de démarrer tout en bas de l’échelle et améliorer sa monoplace pour permettre à notre petite écurie d’espérer sur le long terme gagner des grands prix et devenir championne du monde.
Le mode multijoueur, toujours un des modes de jeu les plus prisés, offre pas mal d’options, on pourra au choix faire une simple course ou un championnat en ligne jusqu’à 22 joueurs, sachez que l’on peut très bien ajouter des IA pour remplir la grille si vous n’êtes pas 22, chose agréable, tout est paramétrable, cela va du réglage du week-end de course (nombre de tours, avec ou sans essais libres, qualif. en 1 tour, avec ou sans safety car, tour de mise en grille etc…) mais aussi des options plus poussées comme le type de météo. Mon seul regret est qu’il n’y ai pas de mode carrière en coopération comme il a pu y avoir par le passé, j’adore la coop et en F1 il y a vraiment moyen de se faire des stratégies entre coéquipier pour mettre en avant notre écurie. En gros sachez que vous en avez pour votre argent dans ce F1 2016!
Le gameplay est toujours aussi aisé à prendre en main, du moins si vous avez déjà joué à un jeu de F1 auparavant, c’est la catégorie dans laquelle je me sens toujours le mieux, enfin c’est celle que je maîtrise le mieux on va dire, je connais assez bien les limites de la voiture et les points de freinages à prendre du coup ça se passe plutôt bien (sauf à Monaco). D’ailleurs la difficulté n’est pas si élevée, j’ai démarré ma carrière en difficile et je me baladais réellement avec ma petite Sauber et j’étais régulièrement dans les points, chose qui n’est pas logique pour une écurie de fin de plateau, je suis donc passé en Expert et là c’est déjà un peu mieux. Si vous êtes un habitué, démarrez de suite en expert.
La gestion des faits de courses est superbement bien gérée, tout le monde sait qu’une course de F1 se termine rarement à 22 voitures intactes lors de la sortie du drapeau à damier, et c’est le cas pour ce F1 2016, j’ai pour ma part eu à chaque course au minimum une safety car virtuelle et généralement au moins une voiture qui abandonne, aussi bien pour une casse moteur que pour un accident (sachant que je joue avec des courses à 50% de longueur) et cette fois-ci lorsque la safety car sort on doit gérer les tours qui passent derrière elle, choisir de tourner ou rentrer au stand, plein de petites choses qu’on n’avait pas dans le jeu l’année passée.
Graphiquement, Codemasters a fait du très bon boulot sur cet épisode, pas que celui de l’année passée était mauvais, mais force est de constater que ce F1 2016 surclasse largement en tout point son grand frère. C’est ultra fluide, c’est beau, l’alliasing est pratiquement imperceptible, les effets de météo sont réalistes et les monoplaces sont fidèlement modélisées. Plein de petits détails sont également présents pour une immersion totale comme les mécanos qui tendent les panneaux d’indications, même si j’avoue qu’à plus de 300Km/h je n’ai jamais pu en lire un seul.
La bande son est elle également de très bonne facture, les bruits des moteurs sont criant de réalisme, on entend sur certaines monoplaces le sifflement caractéristique du turbo tandis que d’autre ont un bruit de moteur bien plus grave.
En conclusion, avec ce F1 2016 on est face à un excellent cru, un millésime comme je les aime. Un plaisir pour les yeux et les oreilles, on est vraiment dans la course et les sensations sont bel et bien présentes, le contenu est enfin conséquent et la jouabilité est immédiate, je n’ai franchement pratiquement rien à lui reprocher, si ce n’est combler de longues heures de courses les soirées avec quelques potes 😀 . Vous aimez la F1 et recherchez un titre accessible et à la fois exigent, F1 2016 est fait pour vous, on est face à un vrai bon jeu qui apporte beaucoup de changement et non face à une simple suite.

[Avis-Test] Deus Ex : Mankind Divided
11/09/16
Après un Human Revolution très réussi, les petits gars d’Eidos reviennent sur la très belle licence Deus Ex avec ce Mankind Divided. Ayant adoré le précédent opus, j’avoue que j’attendais avec une grande impatience cette suite avec un espoir non dissimulé qu’il soit encore meilleur. Je ne vais pas vous le cacher longtemps, j’ai pris autant voir plus de plaisir à jouer à Mankind Divided, on tient là une suite digne de ce nom.
Nous retrouvons comme précédemment Adam Jensen, agent de la Task Force, une division anti-terroriste d’Interpol qui recherche les responsables d’un attentat qui a touché Prague. L’histoire se déroule quelques années après les évènements de Human Revolution, en 2029, qui aura fortement chamboulé le quotidien des personnes avec des implants, en effet pour ceux qui l’auraient oublié, un « bug » a poussé une majeure partie des augmentés à se battre à cause de leur puces. Du coup, le peuple s’est divisé en deux parties; les augmentés et les anti-augmentés qui leur voue une véritable haine raciale. Une chose agréable pour tous ceux qui n’ont pas fait Human Revolution, une petite vidéo d’une quinzaine de minutes nous propose un petit résumé des évènements passés, malgré tout je ne peux que vous conseiller de jouer à cet épisode avant, pas que pour mieux comprendre l’histoire, mais aussi parce que c’est un excellent jeu. L’histoire est vraiment prenante et vous scotchera jusqu’au bout, d’ailleurs les quêtes secondaires sont à chaque fois étroitement liées à votre quête principale sans non plus être intrusives, j’adore comme tout colle parfaitement et donne un bon rythme au jeu.
Le gameplay de ce Deus Ex : Mankind Divided est resté dans les grandes lignes le même qu’avant mais en mieux, on a toujours le choix de passer par l’option bourrin ou alors l’option plus fine avec l’infiltration, l’arbre de compétence est toujours présent et vous l’adapterez facilement avec votre style de jeu. Je note une chose qui m’a vraiment fait plaisir et réjouira tous les fans de la série mais surtout ceux qui comme moi adore l’infiltration et le challenge de finir le jeu sans tuer personne, c’est toujours possible mais ça a surtout été amélioré, cette fois-ci même le boss on peut le neutralisé de façon non létale!
Dans votre progression, vous aurez également la possibilité de faire certains choix, dont quelques uns assez difficiles à pendre qui changerons votre avancée dans le scénario. Un petit plus qui donne envie de voir les différentes possibilités.
Malgré que la durée de vie de Mankind Divided soit assez longue (un peu plus de 30 H pour finir le jeu en mode discret en ne tuant personne pour ma part), il y a le mode Breach qui est une succession de défis dans lesquels vous vous battrez pour avoir le meilleur score, Rien de révolutionnaire mais cela donne tout de même une bonne dose d’heure de jeu en plus pour les fans de scoring. N’oublions pas non plus le new game+ histoire de tester les différents embranchements du scénario.
Graphiquement, Deus Ex : Mankind Divided est superbe sur ce point je n’ai aucun reproche à lui faire, le level design est magnifique et le côté cyberpunk ressort parfaitement. Techniquement il n’y à rien à dire non plus, aucun bug, des textures fine et réussie et surtout une présence quasi inexistante de l’alliasing et le tout en étant très fluide. Encore un de ces jeux où j’ai pris énormément de plaisir à scruter chaque détail des niveaux (et faites le, il y a pas mal d’easter egg caché).
La bande son est elle aussi excellente, Mankind Divided ne tombe pas dans la facilité de faire de la musique électro juste parce qu’on est dans un univers futuriste cyberpunk, les musiques sont très symphoniques et vraiment bonnes. Les voix, entièrement doublées en français sont assez convaincantes, je note quand même un petit souci de synchronisation labiale par moment mais rien de grave au final.
En conclusion, Deus Ex : Mankind Divided est un excellent jeu d’infiltration Cyberpunk. Il reprend les bases de Human Revolution tout en réussissant à s’améliorer et gommer les petites imperfections que ce dernier avait. Franchement si vous avez aimé le dernier épisode n’hésitez pas une seule seconde et sauter sur ce titre qui offre une expérience de jeu qu’on a du mal à oublier.

[Preview] We Happy Few
28/08/16
We Happy Few, ce jeu qui a réussis à me hyper dès son premier trailer avec son univers ultra déjanté et également son côté obscur. Compulsion Games nous fourni ici un petit aperçu de ce qu’on pourra avoir dans la version finale grâce à cette early access. Je n’ai pas pu résister à l’early access même si je n’aime pas ce procédé de vente.
Concernant l’histoire, je ne vais même pas en parler car cet Early Access est surtout là pour présenter le gameplay du jeu et non l’histoire, en effet on a droit qu’à l’introduction du personnage principal (que vous avez pu découvrir lors du trailer de l’E3), donc autant vous dire qu’on en apprend pas grand chose si ce n’est qu’on se retrouve dans une Angleterre des années 60 quelques peu dévastée où les habitants sont contraint de se droguer avec de la bonne pilule « joy » pour voir littéralement la vie en rose.
Sur cette early acces, Compulsion Games a mis en avant le côté procédural et son gameplay général avec ses petites quêtes secondaires aléatoires, même si au final concernant les quêtes en trois parties je suis régulièrement tombé sur les mêmes missions. Dans ce monde dévasté il est préférable d’opter pour l’approche furtive car les habitants ont tendance de vous pourchasser sans relâche et vous aurez vite fait de vous mettre tout le quartier sur votre dos. Ajouter à cela une gestion de vos habits, car oui si vous traîner dans les bas quartiers avec des habits propres, les habitants habitués de porter des vêtements crasseux risque de ne pas vous apprécier. Un système de craft vous accompagne tout au long de votre aventure et n’oublier pas non plus qu’on est dans un survival game, du coup cela implique la gestion de la faim, de la soif et de la fatigue, d’ailleurs les développers ont peut-être un peu pousser le vice car les jauges descendent très vite, trop même.
Enfin, n’oubliez pas que c’est une early acces et que tout peut très bien changer lors de la sortie du jeu final.
Graphiquement We Happy Few est prometteur, le tout est propre et le design général est bien fichu, il ne faut pas oublier qu’on est sur un monde procédural du coup on retrouvera vite des blocs de bâtiments qui peuvent se ressembler, mais rien de bien méchant.
La bande son est vraiment très bonne, les accents « so british » font leurs effets et la musique qui accompagne le titre colle parfaitement à l’univers, je note juste que les sous-titres sont vraiment trop petit.
Au final il faut que vous sachiez vraiment dans quoi vous vous embarquer si vous voulez vraiment passer par la case achat, le jeu est loin d’être fini et risque de voir arriver énormément de changement et de contenu au fil du temps. We Happy Few n’en est pas moins prometteur et j’ai plus que hâte de voir débarquer la version finale pour connaître l’histoire du jeu.

Petit compte rendu de ma Gamescom 2016
21/08/16
Comme chaque année, la Gamescom est l’endroit idéal pour tester quelques jeux en avance et comme souvent, cette année a été riche en news. Vous avez certainement tous déjà vu la plupart des trailer sortit, je vais juste me contenter de vous donner mon ressenti sur les quelques titres qui m’ont le plus marqué sur le salon.
Je vais démarrer directement sur mes deux coups de cœurs du salon, le premier vous devez vous en douter, en tant que grand fan de la licence, j’attendais avec impatience de pouvoir essayer Forza Horizon 3. Franchement je ne suis pas du tout déçu, c’est ultra fluide, et bon sang, quelle claque visuelle, on en prend littéralement plein les yeux, un must have pour les fans de conduite arcade. J’ai pu m’essayer à la démo qui avait été présentée à l’E3, la conduite est jouissive à souhait.
Ensuite, mon second coup de cœur s’est porté sur For Honnor, j’ai été agréablement surpris par cette nouvelle IP proposée par Ubisoft. La démo proposée confrontait deux équipes de cinq joueurs qui s’en mettent plein la tronche après un bref tuto. C’est bourrin et simple à prendre en main. Je n’en attendais rien du tout car le trailer de l’E3 ne m’avait pas plus emballé que ça, mais là j’avoue que la hype est assez vite montée en moi. Je vois déjà venir les parties multijoueur entre potes et ça s’annonce plutôt cool.
Pour le reste, je ne donne pas d’ordre de préférence, juste une mini sélection de titres que j’ai apprécié. Gears of War 4, le retour du maître en terme d’action est de retour, j’ai essayé la version Xbox One qui n’était certes pas la claque graphique à laquelle je m’attendais, mais malgré tout elle a réussis à me bluffer par sa fluidité et ses différents effets pyrotechniques époustouflants, surtout qu’apparemment la version 4K présentée sur pc n’était pas au top côté framerate.
Ensuite Watch Dogs 2 qui proposait du gameplay en coopération plutôt réussis avec beaucoup plus d’interaction de piratage que dans le premier épisode et mise avant tout sur le fun et je trouve que ce n’est pas plus mal. Graphiquement il est dans la continuité du précédent opus.
J’ai pu également essayer Sea of Thieves et Recore qui m’ont bien scotchés. Deux nouvelles licences qui s’annoncent prometteuses, des jeux simples mais efficaces. Le premier propose un gameplay en coopération, il faudra avoir une bonne team organiser pour espérer garder à flot notre bateau. Concernant Recore, il mise sur de l’action frénétique avec un système de couleur, il faudra switcher le pouvoir de votre arme pour que sa couleur corresponde avec celle de l’ennemi visé afin d’espérer faire un maximum de dégâts. Le petit robot qui nous accompagne peut se transformer en chien robot ou en tourelle, par contre la difficulté est au rendez-vous, il faut vraiment être au taquet.
Je vais terminer cet article sur une petite partie de Gwent, le fameux jeu de cartes qui m’aura occupé quelques heures dans The Witcher 3, arrive dans une version prometteuse avec pas mal de cartes supplémentaire et des pouvoirs qui sont quelque peu différent de la version que l’on trouve dans Witcher. J’attends impatiemment de voir sortie la version définitive et en français pour pouvoir mieux anticiper les différentes capacités des cartes.

[Avis-Test] Valentino Rossi The Game
21/07/16
Cela fait facilement 10 ans que je n’ai plus touché à une véritable simulation de Moto GP, j’avoue que j’étais très curieux de ce Valentino Rossi the Game surtout par son contenu et puis par simple nostalgie de re-toucher un peu de la bécane sur console. J’avoue que ce fu une très bonne surprise qui m’aura réconcilié avec les deux roues. D’ailleurs cette année, Milestone a décidé de changer un peu de style et ainsi de nous proposer plus que de la moto gp, un bon point pour eux histoire de varier les plaisirs.
Le mode carrière est plutôt complet, nous nous retrouvons dans la peau d’un jeune pilote qui est coaché par mister Rossi, autant dire qu’on est plutôt dans de bonnes mains. On commencera notre carrière tout en bas de l’échelle en moto 3, il faudra alors prouver qu’on est bon et ainsi gravir petit à petit les échelons en gagnant la possibilité d’entrer au sein d’une écurie plus puissante pour au final se retrouver en moto gp et devenir le champion des champions. Notre carrière sera entrecoupée de petites séquences mise en avant par Valentino Rossi sur des thèmes qu’il apprécie lui même comme le rallye, le moto-cross ou le drift ainsi cela nous permettra de souffler un peu entre deux trois grand prix. Durant toutes ces courses, notre personnage gagnera en expérience un peu comme dans un RPG avec plusieurs branches (freinage, compétence par temps de pluie, contrôle d’accélérateur, agilité, prise de virages, position du corps et condition physique), par contre il vous faudra de la patience pour monter à 100% chacune des compétences et ce même avec les multiplicateurs gagnés. En tout cas moi j’adore ce genre de système qui nous donne une réelle impression d’évolution, j’aimerai le voir dans d’autre jeu du même genre.
En plus de ce mode carrière, Valentino Rossi The Game offre un contenu dantesque, avec des courses libres, le mode contre la montre, des défis et challenges qui retracent la carrière de Valentino Rossi et bien évidemment on a le mode multijoueur qui permet de faire des courses ou des petits championnats. Autant vous le dire, on a de quoi passer pas mal d’heure de jeu.
La conduite est excellent et la prise en main immédiate, un bon mix entre l’arcade ou la simulation suivant les aides que l’on choisi d’activer ou de désactiver. Au moins cela laisse le choix et permettra au plus grand nombre de s’adonner au plaisir de la moto GP. Par contre, j’ai trouvé que ce Moto GP était un peu trop permissif en terme de collision, cela m’a certes permis de ne pas me retrouver la tête sur le bitume mais les puristes risquent de ne pas top apprécier. A côté de ça, l’IA est très agressive voir un peu trop même, ils ont vraiment tendance à ne pas faire attention à vous et de vous rentrer dedans sans aucune raison et vous savez comment cela se fini généralement.
Malheureusement, pour ce qui est de la conduite des voitures, la physique est vraiment hard à prendre en main, bon, on est certes loin d’un forza car ici on joue pour la moto avant tout, mais ça reste tout de même jouable avec un peu d’entrainement. Sinon, si comme moi vous n’êtes pas patient, zapper ces courses pour aller à l’essentiel du jeu, le moto gp et le moto cross!
Graphiquement, ce nouveau Moto GP n’est pas désagréable, on est certes loin des supers productions actuelles mais il se défend bien et reste fluide, hormis quelques petits ralentissements qui viennent gâcher le plaisir lors des premiers virages avec le gros du peloton, tout tourne très bien. Je dirais qu’il est surtout inégal, les circuits sont très vides avec des textures assez vieillotte mais à côté de ça, les motos sont finement modélisée et la vue interne offre de très belles sensations de conduite! Ce jeu malgré qu’il ne soit pas une claque graphique offre de superbe sensation de vitesse, c’est rapide et fluide.
Les bruitages des motos manquent peut-être un peu de pêche, je ne suis pas un expert pour dire si oui ou non ils sont fidèle à la réalité, mais je les ai trouvé tous un peu trop semblable. Les musiques pour ma part et ce comme dans chaque jeu de sport, je les coupent toujours, perso je ne jugerai jamais un jeu de ce type pour une mauvaise bande originale.
En conclusion, c’est une très bonne surprise d’autant plus que ça fait un bon paquet d’années que je n’a plus touché à un jeu de moto. Par contre, je suis déçu, avec un nom pareil, je m’attendais à avoir la possibilité de donner quelques coups de genoux ;). En tout cas c’est un réel plaisir que de rouler sur ces superbes motos avec toutes les licences qui vont bien avec. Je pense que si vous aimez la moto ou les sports mécaniques en général ce Valentino Rossi The Game devrait vous plaire à coup sûr.