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[avis-test] Dishonored (PC)
11/11/12
Le nouveau bébé des studios Arkane, responsable entre autres de réussites vidéo-ludiques telles que Dark Messiah ou encore Arx Fatalis, était attendu de pied ferme par toute une communauté de gamers. Edité par Bethesda Softworks, Dishonored ne faillit pas à sa tâche et nous emmène dans un monde totalement immersif.
Le jeu se déroule dans la ville industrielle de Dunwall, lieu rappelant l’Angleterre victorienne et nous met dans la peau de Corvo, le garde du corps dévoué de l’Impératrice et de sa fille Emily. Lorsque l’Impératrice est assassinée et sa fille victime d’un enlèvement, tous les regards se portent sur Corvo. Ce dernier devra donc remuer ciel et terre afin de démasquer les véritables coupables de ce complot, sauver l’enfant et ainsi redorer son blason terni par cette terrible mésaventure. Lorsque notre héros s’échappe des cachots de la cité, il reçoit la marque de l’Outsider, sorte de gourou en contradiction avec les Superviseurs, membres de la religion officielle de Dunwall. Cette fameuse marque donne des pouvoirs à notre personnage et lui permet d’acquérir cinq compétences qui seront débloquées et améliorées tout au long de la partie. Un scénario somme toute assez classique mais terriblement prenant de par son univers.
La durée de vie dépend de votre façon d’appréhender le jeu. Le gamer en mode « bourrin » se contentera d’une dizaine d’heure environ pour arriver à la fin mais loupera toutes les petites choses comme par exemple le challenge Fantôme (le challenge est réussi lorsqu’il n’y a ni détection de corps ou PNJ assommé constaté) qui font de ce Dishonored un divertissement de choix. Par contre si l’on veut la jouer tout en finesse, la longévité est multipliée par deux.
Le gameplay est clairement un des points forts de ce Dishonored. Doté d’une prise en main exemplaire et très simple d’utilisation, le jeu bénéficie en outre d’une interface que l’on peut personnaliser au gré de ses envies (on peut par exemples aller jusqu’à la suppression de tous les affichages!). De plus, les possibilités offertes afin de progresser dans l’aventure sont multiples, on peut citer la capacité de Corvo d’utiliser ses pouvoirs suivant les situations ou encore de se téléporter ou grimper un peu partout avec une facilité déconcertante. Le gameplay nous permet en plus différents choix d’approche, on pourra aussi bien attaquer de front nos ennemis ou les contourner en fouillant les environs et trouver les différents passages.
Au niveau de la patte graphique, le jeu est basé sur le moteur d’Unreal et bénéfice de l’apport artistique de Viktor Antonov qui a déjà prouvé son savoir-faire dans la création de villes imaginaires avec Half-Life 2. Graphiquement, Dishonored n’est pas spécialement au top si on le compare au ténor du moment, mais les décors de Dunwall ne déçoivent pas tant le rendu esthétique de l’ensemble est bluffant, il pourra rappeler pour certain les décors des Bioshock. Le coté steampunk est très à la mode et ce n’est pas plus mal, c’est toujours rafraîchissant. Quant aux animations, elles sont très abouties et contribuent à l’immersion totale.
Durant une grande partie de l’aventure, la bande son se fait discrète, essentiellement composée de sons d’ambiance (bruits de la mer, d’usine). Lors de certains passages, ce sont quelques notes venant d’un piano triste qui nous accompagnent au fil du jeu mais aussi, des rythmes plus enlevés lorsque l’action est plus intense. Les dialogues sont entièrement doublés en français et de très bonne qualité donnant à Dishonored une crédibilité supplémentaire.
Pour terminer, je ne peux que vous conseiller ce Dishonored aux innombrables qualités et surtout une personnalité forte. Il vous fera passer un très bon moment avec un gameplay qui nous laisse libre court avec de vrai choix et franchement ça fait plaisir car en ce moment ça devient rare. J’ai un peu eu le même feeling qu’avec les anciens Hitman, du coup la rejouabilité est là et on a qu’une envie, réussir le défit de finir le jeu sans tuer personne et être le plus discret possible. Et faites attention aux rats en sortant, ils sont dangereux!

Eurogamer – Cosplay Music Video
8/10/12
Voici arriver encore une superbe vidéo de cosplay. Ce coup-ci c’est en direct de l’Eurogamer, on a droit à un florilège de cosplay tiré de nos meilleurs jeux vidéo, oui oui, même le petit Deadpool fera bientôt partie intégrante de notre univers grâce à son Deadpool: The Game. Je suis bien heureux en tout cas de voir fleurir de plus en plus de vidéos de ce genre, surtout qu’à chaque fois, les cosplays sont superbement mis en valeur.
Faites-vous plaisir, en plus la musique qui accompagne le visuel est très groovy ;).

Retour sur la GamesCom 2012
20/08/12
Cette Gamescom 2012 pour ma part a été décevante, en effet, cette année c’était vraiment très calme. Certainement du fait que de grands noms tels que Microsoft, Nintendo, Sega voir même THQ ont été absent et franchement dès l’entrée, on ressent de suite un grand vide dans le salon. Je plaint franchement ceux qui y sont resté les cinq jours ou qui ont payé leurs places pour le w-e car la visite pouvait se faire très rapidement, sauf si on aime faire plus de 4h de file pour un Assassin’s Creed III par exemples ;).
Malgré tout, les deux jours que j’ai passé sur le salon (le mercredi et le vendredi), je me suis tout de même amusé et j’ai pu tester quelques bons titres. Bon c’était sans grande surprise étant donné que la plupart avaient déjà été présenté à l’E3 et un grand nombre sort dans quelques mois.
Coté stand, ils étaient également moins prestigieux que l’année passée.
Dans les plus beau stand, je retiendrais comme chaque année Sony et son énorme stand, EA qui comme d’habitude arrive avec ses bolides. Une très belle fresque de Sim City était également peinte sur le stand EA.
Et les meilleurs stands reviennent à Defiance, Raiderz et la palme d’or pour Guild Wars 2 qui était juste sublime avec une grosse fontaine qui affichait du texte et image avec des petites gouttelettes, très belle à voir (pour les curieux cliquer ici).
Une chose est certaine, après la sortie du salon, les précos des jeux qui sortiront fin d’année et que j’ai faite resteront dans mon panier. J’attends des titres tels que Far Cry 3, Assassin’s Creed 3, Medal Of Honor Warfighter, Hitman Absolution. Chacune des demos testée sur place ont renforcé l’idée que je me suis fait de ces titres. On sera face à de gros blockbuster qui nous tiendront en haleine pour cette fin d’année. Tous très beau et jouissif au paddle, je ne vais pas trop m’étendre sur eux, les sites pro on déjà publié pas mal de preview, je me garde pour le test final.
Autre gros titre qui va faire mal, Dishonored, un jeu se déroulant dans un univers que j’adore, le steampunk, univers qui est bien trop rare sur console!
Autre jeu qui va faire pas mal de bruit à sa sortie, Remember Me, j’en avait d’ailleurs déjà parlé lors de la précédente Gamescom, à l’époque, il portait le doux nom d’Adrift. Un jeu qui se passe dans un univers futuriste dans lequel des superpuissances achètent et revendent des mémoires, dit ainsi cela peut paraître spécial, mais franchement il donne envie. Allez voir ce trailer, vous m’en direz des nouvelles.
Au final, une Gamescom en demi teinte mais qui fut tout de même agréable à faire.
Autre petite déception, le manque de cosplay, il y en avait certes, mais nettement moins nombreux que les autres années, ou alors j’ai mal choisis mes journées pour me rendre à cette GamesCom. Par contre des poulettes en bikini ou en lingerie ça il y en avait en masse :D, j’ai par contre fait l’impasse sur elles dans la galerie, beaucoup de sites les ont déjà shooté dans tout les sens.
Donc place à la petite galerie de Cosplay, il y avait tout de même quelques réussites:

Un trailer très stylé pour Dishonored
19/04/12
Rare sont les éditeurs qui proposent un jeu avec un univers steampunk. Ces derniers temps, mis à part Bioshock on ne peut pas dire qu’on est submergé avec ce genre. Je suis agréablement surpris en voyant le trailer de Dishonored, le monde présent me rappelle d’ailleurs fortement celui de Lady Mechanika (un petit lien pour ceux qui ne connaîtrait pas le comics Lady Mechanika). Une chose est certaine je trépigne d’impatience de voir ce jeu sortir et je ne peux que faire confiance à Bethesda pour nous fournir un jeu de qualité comme ils ont l’habitude de le faire.