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[Avis-Test] Atomicrops

1/07/20

Posté par TheWiteA dans Jeux Vidéo

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Atomicrops développé par Raw Fury, est un roguelike disponible sur plusieurs plateformes :  Switch, Xbox one, PS4 et PC.

Vous commencerez l’aventure en incarnant l’Avender, fraîchement débarquée de la ville pour faire carrière en tant que fermière. Une vie simple ou comme le dirait vôtre nouvel ami : « pour vivre il faut de l’argent. Pour avoir de l’argent il faut vendre des récoltes ». Vous commencerez alors par cultiver vos premières patates en compagnie de vos amis les lapins qui vous regardent. Il faudra aussi défendre vos cultures de ces voraces limaces. Mais à peine le temps d’en finir et de prendre vos marques dans cette nouvelle vie, qu’une bombe atomique tombe sur votre monde, transformant à jamais ses paysages et ses créatures. Plantez, arrosez, récoltez, posez des tourelles, faites “ami-ami” avec les PNJ, vendez, marchandez, et nourrissez votre village jusqu’à l’opulence à chaque saison, ce sera votre travail en tant que fermier dans le monde d’Atomicrops.

   

Oui vous allez avoir beaucoup de choses à gérer dans ce jeu, si bien qu’il sera facile de vous y perdre. Mais ne vous laissez pas décourager, Atomicrops réserve quelques bonnes idées car dans ce qui semble être un fouillis de plusieurs types de jeux : entre la gestion, le RPG, le Shoot’em up, le farming sans oublier le coté Roguelike, on trouve finalement une certaine harmonie. La frustration des débuts laissant vite place aux plaisirs d’optimiser et d’améliorer son jardin et sa façon de jouer.

 

Vos ennemis seront cette foutue bande de lapins roses et quelques autres bêbêtes ayant subies des mutations suite à l’explosion telles que les Abison, un mélange d’abeille et de bison qui butinent toujours en groupe. Tous ou presque armés de canons tirant des boules laser se déplaçant aussi vite que votre grand-mère dans un escalier. Facile vous vous dites ? Et vous avez raison en 1 contre 1 la victoire vous sera aisée, mais comme vous vous en doutez des Leporidae roses vous allez en voir de partout même dans vos cauchemars la nuit ! Additionnez à ça, la gestion de votre jardin et l’erreur d’inattention vous sera fatale. Vous recommencerez alors encore et encore jusqu’à comprendre comment optimiser votre jardin et comment utiliser l’engrais convenablement, sans oublier les pouvoir des pigeons ou de vos tracteurs haaaaaaaaaaaaaaa…. Vous allez en avoir des choses à apprendre avant de réussir à boucler votre première année et ce ne sera alors que le début de votre histoire.

 

La carte d’Atomicrops sera toujours sensiblement la même, divisée en 5 grandes parties : le centre étant votre jardin et des lieux à chaque point cardinal. Le coté roguelike étant surtout présent dans les loots et l’apparition des bonus ou d’animaux à délivrer tels que les écureuils ou les flamants roses, souvent gardés par un groupe aux dents longues. Pour avancer, il vous faudra survivre pendant cinq saisons, le printemps, l’été, l’automne, l’hiver, et l’hiver nucléaire. Chaque saison, sauf la dernière, sont découpées en trois parties. Toutes clôturées par un combat de boss et un résumé des récoltes qui vous donnent droit à une pluie de bonus.

Entre chaque partie d’une saison vous irez au village vendre vos récoltes contre des noix de cajou. Ne faites pas attention les locaux sont majoritairement des cannibales, mais fort heureusement les humains ne sont pas à leur goût. Vous pourrez dans le village acheter des armes, des upgrades d’armes, des graines ou fréquenter des PNJ qui vous offriront des bonus. Il est même possible de se marier avec l’un d’entre eux ou même plusieurs si vous obtenez un bonus polygame.

Au fur et à mesure de vos parties vous pourrez également débloquer deux autres personnages avec chacun des bonus de départ et des capacités passives différentes ou encore des fourmis ouvrières qui vous aideront à bâtir votre maison, ce qui vous donnera droit à des bonus permanents qui vous aideront pour chacune de vos parties.

La musique du jeu est vraiment amusante, et les bruitages aussi, car autant ces raclures de gangsters aux grandes oreilles vous donneront du fil à retordre autant vous apprécierez le doux son de leurs complaintes. Et ces légumes joyeux de sortir de terre. Youhouuuu hipiiiii.

J’ai testé le jeu sur Nintendo SWITCH et mis à part quelques rares ralentissements j’ai apprécié découvrir Atomicrops sur ce support.

Atomicrops est pour moi ce qu’est la ratatouille pour la cuisine. Un mélange étrange et à première vue peu ragoutant, mais plein de surprises et finalement excellent ! J’ai passé plusieurs heures à essayer de passer ma première année. J’ai passé des nuits à oublier l’heure et le fait que je devais me lever le lendemain pour travailler. Je ne compte plus le nombre de face palm car obnubilé par mes cultures je n’ai pas vu cette boule arrivée lentement vers moi. Mais j’ai vraiment pris plaisir à faire ce test et je suis loin trèèès loin d’avoir fini le jeu qui propose 10 années avec une difficulté croissante !

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Atomicrops, avis, indé, Nintendo, Nintendo Switch, Test

[Avis-Test] DOOM Eternal

8/04/20

Posté par DarkScuderia dans Test / Fast Review

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Quatre ans après la sortie du reboot, le roi du Fast-Fps bien bourrin est de retour!  J’avais plus qu’adoré le reboot à sa sortie, tellement que pour moi il se hissait déjà en tant que GOTY à l’époque.  Autant vous dire de suite, que voir arriver ce DOOM ETERNAL était pour moi un jour de fête qu’il ne fallait pas manquer.  Maintenant il faut souvent se méfier des suites, mais lui n’a rien à envier de son grand frère, bien au contraire il ajoute pas mal de petites choses qui le rend encore plus savoureux.

Concernant l’histoire du jeu, bien qu’une grande partie des joueurs de DOOM ne s’attardent pas plus que ça sur le fond et plus sur le gameplay (moi y compris), sans surprise on y incarne toujours le Slayer qui est à nouveau envoyé sur Terre pour repousser des hordes de démons venus de l’Enfer.  Lors de notre chasse aux démons, on passera en plus de la Terre par Mars et les Enfer.  De quoi nous dépayser surtout que les décors sont somptueux et fourmillent de détails.  Sachez par contre que le Lore du jeu est bien plus étendu et complet que dans les précédents opus on a tout un codex à remplir pour en apprendre toujours plus sur le Slayer et son univers.

 

Pour le gameplay, je ne vous apprends rien, ici on est sur du DOOM pur et dur!  C’est speed et très bourrin, un pur plaisir vidéoludique qui en met plein la vue à chaque affrontement.  Pour se battre on a toujours un arsenal très complet qui passe du bon vieux fusil à pompe, au plasma gun en passant par un minigun et bien sur le bon gros BFG.  Chaque arme est améliorable avec un ou deux modules à installer et à améliorer pour faire encore plus de dégâts.  Notre armure peut elle aussi être améliorée de différentes manières avec les habituelles options de santé, armure ou munitions max mais aussi des modifications qui toucheront le gameplay en lui même comme la possibilité d’augmenter la vitesse des Glory Kill ou la possibilité de vous diriger dans les airs un cour instant.  Un des gros changements touche le rythme du jeu qui est clairement différent du reboot.  Cette fois-ci nous avons régulièrement des phases bien plus calmes avec de la plateforme et des énigmes.  Oui oui des énigmes dans Doom et ça marche et ça permet de souffler un peu tant le stress est parfois total lors de certains affrontements!  Surtout que ce DOOM Eternal est un peu plus hard que le précédent opus, les ennemis plus balèzes et les munitions moins nombreuses, le challenge est bien présent et encore plus dans les difficultés les plus hautes.  Le jeu nous pousse vraiment à utiliser et à abuser des Glory Kill et de la tronçonneuse pour faire le plein de santé et de munitions et ce n’est pas un mal tant les animations de Glory Kill sont nombreuses et jouissives.  Comme je vous le disais un peu plus haut, dorénavant nous avons des phases d’exploration plateforme voire des énigmes, mais ne vous inquiétez pas ce n’est jamais très compliqué, on joue surtout ici sur de l’observation et des sauts à calculer pour passer d’un endroit à l’autre.  L’action reste bien évidement le coeur du gameplay.

Autre changement qui concerne lui le multijoueur : cette fois-ci on oublie les deathmatch et autres teams deathmatch, on a droit à un Battlemode.  Ce mode de jeu est en fait un mode affrontement asymétrique qui affrontera un joueur qui incarnera le DOOM Slayer et deux autres joueurs qui incarneront des démons.  Lorsque l’on est dans la peau du Slayer on a limite l’impression d’être dans une zone d’arène du solo avec les mobs qui traînent un peu partout.  Là où ça devient intéressant c’est du côté des démons avec un choix plutôt correct et des aptitudes qui sont propres à chaque démon.  On pourra choisir des archétypes de tank ou dps et profiter de leur puissance de feu et de leur possibilité d’invoquer des démons qui partiront à la chasse au Slayer.  Bien que je ne sois pas un adepte du multi sur DOOM, j’avoue que ce dernier est sympa et peu s’étoffer sans problème dans le futur.

 

   

Graphiquement, sans grande surprise, DOOM Eternal est une petite pépite.  Le jeu est super beau, tout est très bien détaillé et les décors sont sublimes et sont remplis de détails qui vous feront lâcher des bons gros « Wow » en pleine action et le tout sans aucun ralentissement, c’est impressionnant de fluidité.  J’ai juste remarqué un petit soucis de texture qui parfois, mais très rarement, avaient du mal à charger sur Xbox One, rien de bien méchant tant le jeu est beau.

Côté bande sonore on est vite dans le bain et ce, dès les premières secondes avec un joli remix du bon vieux thème du jeu.  Tout est là pour nous mettre dans l’ambiance folle de DOOM: musique ultra nerveuse et le son des armes et des monstres sont juste parfaits, certains ont d’ailleurs un petit côté rétro, on reconnait quelques bruitages qu’on avait sur les vieux DOOM de l’époque.  On a ici un combo parfait entre l’ambiance sonore et visuelle qui nous plonge au coeur de l’enfer.

En conclusion, comme pour le précédent opus, ce DOOM Eternal se place haut et fort sur la première place du podium du meilleur FPS de l’année.  Je peux même le placer sans problème sur le podium des GOTY 2020.  Il est fun, on a de l’action ultra grisante et des moments de pause et de plateforme/énigme pour souffler entre deux combats, vraiment il n’a pas ou peu de défauts.  Si vous aimez les FPS ou l’univers de DOOM, allez-y foncez et jouez!  Par contre passer de Doom Eternal à n’importe quel autre FPS tout te semble très lent!

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avis, Bethesda Softworks, DOOM Eternal, Fast Review, id Software, Test, Xbox One

[Avis-Test] Warlords of New York

5/04/20

Posté par DarkScuderia dans Test / Fast Review

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Avec Warlords of New York, il est temps de reprendre du service au sein de la Division.  Cela faisait d’ailleurs quelques temps que je n’étais plus retourné sur The Division 2, il faut dire qu’après des centaines d’heures de jeux, un build bien optimisé et le raid bouclé, on commençait à rouler sur le jeu et vu que je n’avais pas plus accroché que ça à la DZ de celui-ci par rapport au premier opus, une petite pause fait toujours du bien et là, du coup c’est un retour en grande pompe sur le jeu.

L’agent renégat Aaron Keener a refait surface et il est temps pour la Division de reprendre du service car New York est à nouveau menacé: direction Lower Manhattan pour faire le point sur la situation.  Très vite, nous remarquerons que la ville a été prise d’assaut par les factions que l’on a déjà croisé et que notre traque pour mettre hors d’état de nuire Keener nous mènera vers ses quatre lieutenants (Vivian Conley, James Dragov, Theo Pamell et enfin Javier Kajika ).  Tous sont plus armés que jamais avec des nouvelles capacités qui vont nous donner du fil à retordre tout au long de notre traque. Autant vous dire que notre tâche sera longue avant de pouvoir mettre la main sur Aaron Keener.  Nous pourrons tout de même compter sur nos alliés qui se sont réfugié à New Heaven afin de faciliter notre route.

 

Même si le gameplay de base n’a pas changé et reste à base de couvertures et d’attaques avec nos armes et capacités, la refonte totale du jeu ajoute et modifie tout de même pas mal de choses. Vous pouvez désormais dire adieu au GearScore, vous serez level 40 et basta. Certains trouveront cela triste, mais beaucoup comme moi seront ravis de ce changement, car il n’était pas rare voire même trop souvent, que l’on tombe sur du Loot avec un GearScore bien plus bas que le nôtre et qui du coup était bien inutile.  Ajouter à cela le système aléatoire des talents: c’était une horreur pour optimiser notre build.  Mainteant c’est toujours un peu compliqué mais grandement facilité. A cela s’ajoute un tout nouveau système de recalibration : nous devons à présent alimenter une bibliothèque de talents et d’attributs afin de pouvoir les transférer sur notre équipement. Je peux vous assurer qu’une fois votre bibliothèque bien remplie, c’est un bonheur de recalibrer, on se sent bien plus libre et c’est de suite plus facile de s’optimiser. Par contre, gardez bien à l’esprit que ça ne se fera pas en 2 heures de jeu, il y a beaucoup à faire avant d’arriver au maximum.

On aura maintenant à tout moment des agents renégats qui pourront vous surprendre lors de votre exploration où lors d’une attaque de point de contrôle et autant vous dire que lorsque vous jouez en héroïque et que vous tombez sur quatre de ces agents sur-armés, il faudra être organisé et patient pour en venir à bout.

 

   

Je vais passer sur les graphismes et la bande sonore vous pourrez retrouver tous les détails dans mon avis sur The Division 2. Ce DLC ne modifiant rien de ce côté je vais vous épargner un paragraphe où je me répéterai. Sachez juste qu’il est toujours aussi beau et l’ambiance de New-York fait son effet!  C’est un réel plaisir que de retourner au milieu de ces buildings qui donnent le vertige à la recherche de petits easter egg.

En conclusion, si vous êtes fan de la licence The Division, vous aurez beaucoup de mal à vous passer de Warlords of New-York, certes la trame principale n’est pas très longue (cela dit, blague à part je connais certains jeux qui ne sont guère plus longs « bonjour RE3 »), mais elle offre tout de même une belle nouvelle zone à explorer et pas mal de loots exclusifs à New-York pour parfaire votre build. 

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The Division 2, Warlords of New York

[Avis-Test] My hero One’s justice 2

27/03/20

Posté par TheWiteA dans Jeux Vidéo

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My Hero : One’s justice 2 développé par BYKING Studio et édité par Bandaï Namco est un jeu basé sur le Shonen de Kōhei Horikoshi, My Hero Academia. Il reprend directement le scénario là où le premier opus l’avait laissé. Et si, comme moi, vous n’aviez pas joué à ce titre et/ou que vous n’aviez pas lu le manga jusqu’aux événements de My Hero : One’s justice 2 vous allez être un peu perdus. Idem pour ceux qui suivent l’animé. Je vous recommande de vous mettre à la page avant de potentiellement vous spoil avec l’histoire présentée par ce 2ème volet.

Comme dit plus haut, je n’ai pas pu tester le premier jeu. J’avais eu quelques échos négatifs sur ce dernier mais je ne pourrai pas les comparer et je ne le désire pas de toute façon. Je vais donc uniquement me baser sur mon propre avis en tant que joueur. Je connais aussi l’univers de My Hero Academia car je lis les mangas, même si je ne suis clairement pas à jour. Malheureusement je me suis fait spoil dans les grandes lignes la suite du manga avec le jeu. 

 Pour ceux qui ne connaîtraient pas My Hero Academia, c’est un manga Shonen mettant en scène des supers héros dans un monde où beaucoup de personnes se voient doter de supers pouvoirs qu’on nomme ici des “Alter”. Il existe donc des écoles de supers héros pour que les jeunes apprennent à maitriser leurs pouvoirs. On retrouve dans ce manga quelques clichés des comics (type Marvel ou DC) qui se mélangent avec le style du manga japonais et le rendu est vraiment bien. Dans cet univers, les jeunes avec des pouvoirs sont plutôt bien acceptés dans la société à la différence par exemple des mutants de Xmen. L’humour est plutôt bien présent et le héros principal Izuku Midoriya est une personne née sans Alter mais qui est un très grand fan de ces supers héros en particulier le plus grand de tous All Might. Voilà pour le speech de base je vous invite à lire ou à regarder l’animé si vous voulez en savoir plus.

Passons donc maintenant au jeu en lui-même. My Hero : One Justice 2 est une Arena Fighter somme toute classique sur l’univers de My Hero Academia. Il reprend l’histoire après la victoire d’All Might sur All for One. Le jeu nous propose plusieurs modes de jeux ainsi qu’un sympathique mode personnalisé.

Le mode histoire nous permet donc de suivre les aventures des personnages de la série. L’histoire est racontée, non pas via des cinématiques mais plutôt par des cases type comics légèrement animées, une idée plaisante, avant de faire combattre les personnages concernés.
Une fois le jeu « fini » une première fois il est possible de jouer l’histoire du côté des vilains.

Le mode mission, permet de donner au jeu un semblant de rpg car il est possible de faire monter des niveaux à nos personnages, de créer des teams avec des synergies ou d’équiper des cartes qui confèrent des bonus.

 

Le mode combat libre et le mode combat en ligne vous permettent de choisir votre personnage et deux acolytes pour jouer en local ou en ligne contre d’autres joueurs.

Le mode Arcade est un mode avec plusieurs niveaux de difficultés ou on affronte des ennemis « surprises » en retournant des cartes.

Et enfin la partie du jeu que je préfère le mode “personnalisation”. La meilleure option de ce jeu et qui me pousse à y jouer beaucoup afin de gagner des gold car chaque combat peu importe le mode vous permet de gagner de l’argent afin d’acheter des persos pour le mode Mission ou d’acheter des cosmétiques que vos personnages porteront dans vos combats libres ou en ligne. C’est une option toute bête qui en plus est un bon clin d’œil au fait que nos héros doivent au début de My Hero Academia choisir leur costume de super héros. Et cela peut donner des supers résultats. PS : oui je suis fan de Momo Yaoyorozu et j’aime beaucoup son Alter (sous exploité !). Avec les ailes, les cornes et l’écharpe que je lui ait rajouté elle semble tout de même plus impressionnante. Mouhahahahaha l’online n’a qu’à bien se tenir !

   

Je trouve personnellement le jeu beau sur switch, les coups spéciaux sont plutôt impressionnants et vraiment cools. Enfin pas tous, je trouve certains persos un peu tristes à jouer. Question équilibre certains sont beaucoup plus forts que d’autres n’est-ce pas Gang Orca ! Le jeu n’est pas dur, car si on laisse la configuration de base, le jeu enchaîne lui-même les coups spéciaux après un enchaînement de coups de base. Et une fois qu’on enchaîne un adversaire il est difficile pour lui de s’en sortir sans user de ses acolytes qui viendront l’aider.

Arena Fighter oblige, le jeu est répétitif, les personnages étant presque tous débloqués dès le début du jeu (suite au premier opus) il est difficile d’avancer dans le mode histoire afin de débloquer les rares personnages manquants. Si on ajoute à ça que les dialogues semblent parfois mal traduits, il est même difficile de suivre. Malheureusement je ne peux pas faire de screen avec ma switch sur le mode histoire car l’option est bloquée.

 

Pour conclure, My Hero : One’s justice 2 est plaisant de manière occasionnelle et il est clair que si j’avais été un fan de My Hero Academia j’aurais adoré ce jeu peu importe ses défauts. Il a clairement des qualités, car il respecte bien l’univers de My Hero Academia. C’est du fan service qui fera donc plaisir aux fans. Il sera en revanche plus difficile à ceux qui ne connaissent rien à cette série de plonger dans l’univers car ce volet nous met directement dans le bain sans prendre le temps de présenter ses personnages.

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BYKING Studio, My hero One's justice 2, namco bandai, Nintendo Switch

[Avis-Test] Dandara Trial of the Fear Edition

26/03/20

Posté par TheWiteA dans Nintendo Switch

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Dandara Trial of the Fear Edition est un jeu développé par Long Hat House et édité par Raw Fury. C’est un jeu dans le genre Metroïdvania. La différence la plus notable est le déplacement du personnage, qui peut uniquement bondir de surface en surface.

 

Vous incarnez alors l’héroïne éponyme de cette histoire, Dandara, dernière-née de la création. Le sel qui va et vient dans vos veines et dans chaque chose est la source même de votre univers et votre destinée est de le protéger car le monde dans lequel vous progressez est en déclin. Plongé petit à petit dans l’oubli de la joie sous le joug d’un empire désireux de tout contrôler. Vous virevolterez alors de traces en traces à la recherche des artistes qui donnent forme au sel pour leur transmettre un nouvel espoir.

 

Cela ne suffira malheureusement pas, car l’empire ne cessera de vouloir dompter le sel en envoyant son armée. Il vous faudra alors partir à la recherche de ces généraux pour défaire l’empire et libérer toute la créativité et la passion de votre monde. Mais cela ne sera pas simple et il vous faudra explorer à la recherche des âmes perdues dans la solitude pour en récupérer l’essence et ainsi vous rendre plus fort. Mais vous pourrez aussi collecter différents objets pour vous aider dans cette tâche.

Votre chemin vous mènera à découvrir bien des choses sur votre monde : ses souvenirs, ses rêves mais aussi ses peines et ses peurs qui pourraient bien changer votre avis à propos du sel dans une vision du monde bien plus sombre. Mais le destin qu’est le vôtre vous portera encore plus loin, jusqu’aux portes de cette forteresse impénétrable. Là, vous apprendrez alors au travers d’un rêve qu’une brèche existe. Une fois ces murs d’or franchis vous affronterez votre plus grand défi afin d’atteindre et de faire tomber l’empereur.

 

Difficile de parler de Dandara Trial of the Fear Edition sans “spoil” l’histoire ou le sous-texte mais le jeu étant sorti en 2018 je me permets d’en dévoiler la trame ainsi que quelques indices cachés dans ce test. Je me permets aussi de donner mon avis sur le sous-texte en toute fin de ce test. Je vous invite à ne le lire qu’après avoir fini le jeu, afin de ne pas gâcher votre potentielle expérience personnelle.

 

Long Hat House, nous fait plaisir avec une belle maitrise du pixel art, très agréable en mode nomade de la Nintendo SWITCH. J’ai beaucoup aimé l’univers de Dandara, bien que réticent au début notamment à cause des déplacements qui laissent moins de liberté. Le jeu propose finalement une autre façon de jouer et de concevoir les niveaux et celui-ci devient très vite intéressant et difficile.

 

Le gameplay avec le fait de ne pouvoir se déplacer qu’avec des sauts sur le sel (parties blanches sur le sol) est finalement bien agréable. En avançant dans le jeu on débloque d’autres projectiles et les ennemis deviennent de plus en plus forts et de plus en plus nombreux. On a aussi la possibilité d’augmenter ses stats aux différents camps, qui servent aussi de point de résurrection. On a d’ailleurs cette petite mécanique qu’on peut retrouver dans un Dark Soul ou lorsque l’on meurt on doit retourner sur le lieu de notre trépas pour récupérer notre âme.

 

La bande son est plutôt agréable, parfois un peu redondante surtout si vous restez bloqués longtemps dans une même zone, car certaines énigmes vous donneront un peu de mal. L’ambiance colle bien avec le monde dépeint et on se laisse aisément porter.

Je n’ai pas regardé si un speedrun existait sur ce jeu. Mais avec de telles mécaniques je pense qu’un speedrun pourrait vraiment être intéressant. J’ai terminé le jeu en 6h30 environ. Mais je suis loin du 100%, je pense que la durée de vie moyenne est de 8h.

Pour conclure, avant de passer à mon interprétation du sous-texte, Dandara Trial of the Fear Edition est un bon jeu. Qu’on se penche ou non sur le sous-texte l’aventure est agréable et l’univers un peu mystique donne envie d’aller plus loin. Le défi est bien présent mais pas insurmontable on aura donc pas cette frustration qu’on peut rencontrer dans d’autres jeux.

Le sous texte, ou du moins mon interprétation de ce dernier, m’a particulièrement touché. On parle ici d’une perte de créativité, due notamment à de vieilles cicatrices. On s’enferme alors dans une coquille se cachant derrière un masque, un sourire, alors que notre âme souffre et s’éteint petit à petit. On renforce notre cœur jusqu’à en faire une pierre, on essaie de contrôler chaque instant de la vie, pour ne plus avoir de surprises, ne plus avoir mal. On construit des murs pour se protéger des autres et on s’enracine avec une image, celle du reflet de notre société qui ne jure que par les apparences. Vous faites tout ça pour être heureux, ne plus souffrir et pourtant vous savez ce bonheur illusoire car, sans cette âme créatrice, vous ne serez qu’une ombre. Vous êtes alors en conflit avec vous-mêmes, vous n’aimez pas celui que vous êtes devenus et vous cherchez à retrouver vos racines, vos inspirations. Certains y arrivent seul, d’autres y parviennent lorsqu’une personne les aide. En affrontant vos souvenirs, vos rêves et vos craintes vous trouverez une faille dans cette armure faussement étincelante et vous retrouverez la joie, la créativité.  Ceci n’est que mon point de vue, il est probable que l’histoire de Dandara vous touche autrement et de façon personnelle je l’espère.

Merci à tous ceux qui auront lu ce test, n’hésitez pas à laisser un commentaire sur votre propre interprétation je le lirai avec plaisir

 

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Dandara Trial of the Fear Edition, Long Hat House, Nintendo, Raw Fury, Switch
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