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[Avis-Test] State of Decay 2
26/05/18
J’avais adoré à l’époque le premier State of Decay malgré ses nombreux bugs et graphismes bien moches et ce n’est pas les centaines d’heures de jeu au compteur qui me contrediront. Du coup, vous vous en doutez, j’attendais de pied ferme sa suite qui se voulait plus ambitieuse, plus grande et avec de la coop. Et franchement rien que le mot coopération pour ce titre me rendait fou de joie. Après un bon 40 heures de jeu, est-ce que ce State of Decay 2 est aussi fun à jouer que le premier, je dirais oui.
L’histoire n’était déjà pas le point fort du premier opus, et je dois dire que cette suite n’offre malheureusement pas un scénario plus approfondit. L’histoire débute plus ou moins deux ans après l’infestation que l’on a connu dans le précédent épisode, on choisit un binôme de départ parmi quatre choix qui ont chacun leur propre background. On démarre dans un campement militaire anormalement déserté, on croise rapidement un militaire et un médecin nous informant d’un nouveau type de zombie infecté par un type de peste qui peux nous tuer assez rapidement, comme si la zombification ne suffisait pas! Une fois le tuto passé et la base du scénario placée, nous nous retrouvons directement dans l’une des trois maps proposées pour nous offrir un monde ouvert remplit de maisons à fouiller et de colonies à découvrir. C’est à peu près tout pour le scénario, on a bien une petite histoire sur l’héritage du chef choisit pour notre groupe, mais ça n’ira pas plus loin pour ce State of Decay 2.
Le gameplay, c’est clairement le point fort de la série des State of Decay, le jeu est riche et offre une excellente expérience en termes de survie et de gestion de communauté. Cette suite a d’ailleurs approfondi les possibilités et elle a surtout rendu certaines choses plus compliquées qu’auparavant. La première qui vous sautera aux yeux (le jeu démarre d’ailleurs sur une panne sèche), les véhicules n’ont plus de carburant à l’infini, dites adieu aux allers-retours incessants en voiture, il faudra faire attention et toujours garder un oeil sur la jauge de carburant car tomber en panne d’essence au plein milieu de la map entouré de plusieurs hordes n’est jamais une bonne chose! De plus, je profite de parler des véhicules pour signaler une autre grosse nouveauté les concernant, l’arrivée de kits de customisations de véhicules qui se divisent en trois parties (lourd, moyen et léger). En plus d’avoir un visuel qui modifie parfois totalement le look de votre bolide, ces modifications offrent également un gros boost de protection pour dégommer encore plus de zombies. En parlant de zombies, le bestiaire est similaire à ce que l’on a connu, on retrouvera donc les boursouflés qui vous explosent à la tronche et laissent derrière eux un gros nuage toxique, les hurleurs qui malgré leur apparence chétive sans bras, vous donneront du fil à retordre avec leur cri strident. Et bien sûr les deux monstres à ne pas croiser, les mastodontes qui sont de vrais tanks sur pattes et les sauvages qui sont ultra rapides. A cela vous ajoutez les pestiférés qui sont issus des infestations des différents coeurs de peste, ces derniers vous contamineront de cette fameuse peste au moindre contact, il faudra la soigner au plus vite car il ne vous restera que quelques heures à vivre. Pendant j’y pense, il ne lui manque qu’une chose à ce State of Decay 2, la possibilité de customiser ses armes un peu comme dans Dead Rising, ça serait juste top.
Autre petit changement, les communautés sont bien plus exigeantes et imprévisibles, aussi bien au sein de votre propre communauté que celles que vous rencontrerez. En effet, comme dans le premier vos survivants peuvent très bien péter un plomb si les choses tournent mal dans votre base, mais les survivants que vous croiserez pourront également devenir hostiles contre vous si vous faites de mauvais choix avec eux. D’ailleurs, cela peut mener à de grosses bastons inattendues, j’ai moi-même perdu deux de mes survivants lors d’une altercation, ils étaient tous armés de gros fusils automatiques et moi de pieds de biche, je vous laisse imaginer le dénouement de ce combat!
Petite chose fort sympathique, le jeu prend une autre dimension une fois que vous avez fini l’histoire de votre chef, en tout quatre fin différentes, une par type de chef. Constructeur, shérif, chef de guerre et commerçant. Lorsque vous redémarrez une nouvelle partie vous pourrez activer deux bonus en choisissant parmi les différents héritages que vous avez gagné, et je peux vous dire que certains sont vraiment bons.
N’oublions pas non plus la grosse nouveauté, le mode coop qui débarque enfin dans ce très bon jeu. C’est clairement ce que j’attendais depuis le premier et j’avoue que je ne suis pas déçu, même si au final on n’a pas une réelle coopération au sein d’une même communauté. On ne peut que venir prêter main forte à notre ami lors de ses chasses aux zombies, cela dit ne vous inquiétez pas, vous ne faites pas cela pour rien! A votre retour, vous gagnerez des cadeaux qui seront de plus en plus avantageux suivant vos prouesses, vous pouvez également looter dans les différents bâtiments car vous avez tout de même accès à votre stock.
Graphiquement, on ne va pas se mentir, State of Decay 2 est loin de ce que l’on peut attendre d’un jeu de 2018, il est clairement à la ramasse techniquement avec quelques petits bugs qui sur Xbox One ne sont pas trop dérangeants (j’avais régulièrement les portes qui apparaissaient ouvertes mais ne l’étaient pas). Par contre sur PC, il est bien plus bugué avec des soucis en coop et pas mal de problèmes de textures surtout pour les voitures. Cela dit, il est loin d’être aussi moche que le premier épisode, n’écoutez pas ce que certains disent et regardez les comparatifs, il y a tout de même eu une nette évolution sur ce titre, beaucoup plus fluide, les textures plus fines et surtout on peut dire au revoir à l’alliasing omniprésent du premier.
Côté ambiance sonore on a quelque chose de plutôt correct, les cris des différents types de zombies sont plutôt convainquants, par contre les doublages totalement en anglais manquent cruellement de charisme, les cinématiques sont clairement molles et vides d’intérêt. Les musiques, qui sont assez calmes accompagnent agréablement vos virées nocturnes.
En conclusion, si comme moi vous avez kiffé le premier opus, vous adorerez ce State of Decay 2. Certes il a quelques bugs et est dépassé graphiquement, mais bon sang qu’est-ce qu’il est bon et nous offre une superbe expérience en terme de gestion et de survie. On voit énormément de jeux de zombies sur le marché, mais rare sont ceux qui peuvent offrir un gameplay de ce type, ça change clairement des jeux ultra bourrins et tape à l’oeil. Perso, je prends mon pied dessus et le fait d’avoir trois maps aide clairement pour ne pas voir de lassitude lorsque l’on recommence une nouvelle partie. En tout cas si vous ne vous focalisez pas que sur l’aspect technique d’un jeu, vous pourrez découvrir un titre qui a beaucoup de choses à offrir.
Il ne faut pas non plus oublier qu’on n’est pas sur un AAA, mais un petit jeu avec un budget nettement en dessous des grosses productions et vendu pour 30€.

Xbox, ce que je retiens de sa conférence #E32017
12/06/17
Bon, déjà c’est ce que j’ai personnellement retenu, ce qui m’a le plus marqué et non un résumé complet jeu par jeu, minute par minute, je laisse ce taff aux gros site. J’ai voulu attendre et faire un article à tête reposée, à chaud la hype était peut-être un peu trop présente.
La conférence débute avec la présentation de la nouvelle Xbox Scorpio One X, un monstre de puissance qui nous promet de la 4K en 60fps avec un gros boost visuellement et cela c’est vu sur certain trailer présent, c’est juste ouf ce que cette console peut faire. Cette Xbox a un prix, 499€ et sortira le 7 novembre 2017, pour moi c’est la limite que Microsoft ne devait pas dépasser. A ce prix là, aucun pc digne de ce nom ne peut réussir une telle prouesse technique.
Ensuite c’était le bal avec des jeux, encore des jeux, beaucoup de jeu, cela pourrait être un résumé parfait tant la conférence s’est déroulée à un rythme frénétique nous balançant une tonne de trailer. Une chose est certaine, tout les gamers auront de quoi se nourrir en fin d’année et en 2018 et ça fait bien plaisir.
Après coup, la conférence était bonne, beaucoup de jeux mais trop peu de réelle exclu, car beaucoup des jeux présentés sortiront sur la console concurrente, et je vois mal Microsoft vendre par palette des Xbox One X sans réelle exclu, hormis aux fans et habitués comme moi de la marque. D’autant plus que les gros jeux qui nous ont donnés de bonnes grosses claques (Anthem et Metro entre autre), ne sortiront pas avant fin 2018 et encore en espérant qu’il n’y ai pas de report. Du coup personnellement je me vois mal acheter une nouvelle console juste pour la 4K, car là tous les jeux seront disponible sur ma bonne vielle Xbox One, je pense pouvoir patienter un peu.
Je termine sur quelques trailer des jeux qui m’ont le plus scotché lors de cette conférence :

[Avis-Test] Halo Wars 2
22/02/17
Voici arriver Halo War 2, le RTS à la sauce Microsoft qui reprend l’univers de sa licence phare, Halo. Perso j’ai été bercé par la série des Command & Conquier (licence qui se fait discrète en ce moment d’ailleurs), autant vous dire que c’est nouveau pour moi du coup. Comme on dit, un peu de changement ne fait pas de mal, vu qu’à la base j’aime beaucoup la série Halo, la découverte a été un peu déroutante mais plus que plaisante.
On reprend l’histoire avec le capitaine Cutter qui se réveille tout près de l’Arche après avoir passé 28 ans à dérivé dans son vaisseau le Spirit of Fire, durant notre périple on pourra également prendre le contrôle de cinq autres commandants qui ont chacun leurs pouvoirs bien spécifiques. On croisera rapidement sur notre chemin la brute Atriox que vous traquerez tout au long de votre périple, il est puissant mais fuira régulièrement le combat lorsque vous êtes à deux doigts de l’avoir. En tout cas, le mode campagne est vraiment bien fichu, l’histoire nous plonge en pleine guerre, le tout agrémenté de superbes cinématiques. C’est rare que dans un RTS je m’attarde sur la campagne, d’habitude je saute de suite sur le mode escarmouche qui pour moi est le mode le plus intéressant, mais là c’est totalement différent et ce n’est pas pour me déplaire et rien que pour ça Halo Wars 2 vaux déjà le détour.
Le gameplay de Halo Wars 2 est somme tout assez basique pour quelqu’un qui a déjà joué à un RTS, il faut pouvoir être rapide et préparer notre attaque et notre défense en début de partie. On a donc toute la partie gestion de base avec la construction des différentes parties qui sont collée à notre QG, il faudra bien choisir pour évoluer le plus rapidement possible et ensuite la partie attaque pure avec nos troupes crées, l’arsenal est plutôt complet et diversifié, on retrouve tout les types d’infanteries et de véhicules qu’on a pu croiser dans les Halo.
La maniabilité à la manette est plutôt bien pensée, on retrouve tout un tas de raccourci pour nous faciliter la vie et au final on s’en sort plutôt bien. Cela dit, je préfère tout de même y jouer sur mon pc (vive le Xbox Play Anywhere), ce type de jeu se joue clairement mieux avec un clavier et surtout une bonne souris 😉 on a une rapidité de mouvement et d’action qu’on ne retrouvera jamais sur console et pour prendre de vitesse notre ennemi c’est indispensable surtout pour le multijoueur.
Concernant les modes de jeu on a les classiques du genre (deathmatch, escarmouche, domination,…) et d’autre inédit à la série comme le mode Blitz qui regroupe entre deux et six combattants sur une carte, les joueurs doivent créer leur armée avec des decks de cartes Blitz suivant les cartes que vous aurez débloqué votre armée pourra être dévastatrice, un petit conseil, avant de passer sur ce mode de jeu faites le mode histoire qui vous donnera quelques paquets de cartes gratuitement.
Graphiquement ce Halo Wars 2 est très beau, surtout sur PC, digne des meilleurs RTS et je ne vous parle même pas des cinématiques qui comme dans Halo 5, sont magistrales, elles donnent vraiment envie d’avancer pour suivre ce périple. Le jeu tourne très bien et ne bronche même pas lors de gros rush avec un grand nombre de troupes d’affichés sur l’écran, un bon point car ce genre de jeu a vite fait de ramer lors des grosses phases de combats.
L’ambiance sonore est excellente aussi avec des musiques qui comme à chaque fois dans un Halo donne des frissons, la VF est très bonne et c’est un régal de regarder les cinématiques en français sur ce coup.
En conclusion, Halo Wars est un très bon RTS avec une belle campagne solo qui m’a agréablement surprise. Malgré que je ne connaissais pas la série j’ai assez vite pris mes marques et j’ai de suite pris beaucoup de plaisir à jouer, ceux qui aiment ce genre de jeux devraient vite trouver leurs repères ajoutez à cela l’univers de Halo et on a un mix parfais. D’ailleurs les fans de la franchise Halo, si vous ne connaissez pas ce genre de jeu essayez -le, vous pourriez être surpris d’autant plus que l’univers est vraiment bien retranscrit.

[Avis-Test] Gears of War 4
15/10/16
Les premiers volets de Gears of War ont clairement marqués la Xbox 360 et l’arrivée de ce Gears of War 4, 10 ans après la sortie du premier, risque fort bien de marquer un nouveau pan dans l’histoire de la Xbox One avec très certainement une nouvelle trilogie qui se profile. Je ne vais pas y aller par quatre chemins, cette licence revient en force et s’impose à nouveau comme licence phare, le roi est de retour et c’est LE jeu à posséder à tout prix par tout les possesseurs de Xbox One!
Dans ce Gears of War 4 nous incarnons J.D., le fils de Marcus Fenix, un jeune rebel qui essaye de trouver sa place dans la société mais qui n’en fait qu’à sa tête et qui a le don de se mettre dans de beaux draps, il est accompagné de Del un de ses amis d’enfance, Oscar un ancien membre des Gears qui est son oncle et Kait qui tout comme Oscar fait partie des Parias.
L’histoire se passe 25 ans après la fin de la guerre contre les Locustes, si vous vous rappelez, nous avions éradiqué toute trace de Locustes sur terre grâce à la bombe de lumière, on retrouve d’ailleurs un résumé expliqué dans les grandes lignes sous forme de flash back. 25 années c’est long, très long même et il peut se passer énormément de chose durant ce temps, on remarquera rapidement que la CGU a créé une société qui ressemble plus à une dictature qu’à un état où tout le monde a le droit de vivre sa vie, ici les méchas ont remplacés l’homme pour les tâches dites dangereuses et les femmes sont pratiquement forcées à jouer le rôle de reproduction pour la survie de l’espèce humaine, car après avoir frôlé l’extinction, l’humain se fait rare. Du coup on comprend assez vite pourquoi des groupes rebelles surgissent de cet état autoritaire et quelque peu malsain. Au début de notre périple nous avions comme simple mission de ramener le fabricator (une espèce d’imprimante qui nous permet de fabriquer tout un arsenal), chose qui parait simple sauf lorsque l’on se met l’autorité sur le dos, du coup c’est à coup d’attaque de méchas armés que l’on va essayer de se frayer un chemin.
Après cette introduction, on se retrouve rapidement dans le village où vivaient JD et ses amis qui se fera attaqué par d’étranges créatures qui vous feront de suite penser aux Locustes et ce n’est pas pour rien lorsque l’on sait d’où vient cette nouvelle menace, ce jeune groupe n’ayant jamais vu de Locustes de leur vie, J.D. décida d’aller chercher l’aide de son père. Je ne vous en dirais pas plus, à vous de découvrir le fin mot de cette nouvelle histoire.
Depuis le dernier Gears, le gameplay n’a pas beaucoup changé, on reprend directement ses marques, le jeu est toujours aussi bourrin et on passe d’une couverture à l’autre pour dégommer du Locustes, d’ailleurs j’ai trouvé le système de couverture légèrement plus fluide que par le passé. Dans Gears of War 4, oubliez la subtilité et foncez dans le tas, mais pas trop surtout si vous jouez en dément car là le moindre coup ne pardonne pas!
Quelques nouveautés se sont tout de même glissées dans ce jeu aux rouages déjà bien huilés, des nouvelles armes comme le Tri-shot, un efficace pompe qui a une énorme cadence de tir,le fusil Markza, mon petit préféré est une arme qui tir au coup par coup avec une très bonne précision pour finir dans les armes qui m’ont marqué, le Buzzkill, un lanceur de scie circulaire qui est très redoutable. Quelques nouveaux ennemis s’ajoutent également au bestiaire déjà bien fournis de cette licence. Là où le jeu innove vraiment, c’est au niveau de l’interaction avec le décor, à de nombreuses reprises on a la possibilité de tirer sur certains éléments pour déclencher une réaction en chaîne pour éliminer des groupes de Locustes.
Concernant le multijoueur de Gears of War 4, il fait son taff même si ce n’est toujours pas ma tasse de thé (dans le style matchmaking, je suis plus FPS que TPS), je préfère de loin le mode horde sur les Gears. Il offre toutefois un bon nombre de mode de jeu inédit qui sont très intéressants, notamment le mode Dodgeball dans lequel un kill ennemi rapporte une résurrection alliée, autant vous dire de suite les retournements de situation sont fréquents ici, le mode course à l’armement dans lequel on nous donne une arme de départ et elle change à chaque kill, ce mode est clairement inspiré de celui des COD sauf qu’ici le changement se fait pour toute l’équipe, ensuite le mode escalade qui est un mode capture de zone et le mode gardien qui est vraiment cool, on doit ici protéger notre gardien, l’objectif est bien sûr de le protéger et de tuer le gardien adverse, si celui-ci est tué, les résurrections sont stoppées. Chose agréable, j’ai vraiment aimé le fait qu’on puisse transformer ce pvp en mode coop à cinq joueurs contre des bots.
Graphiquement qu’on se le dise de suite, Gears of War 4 est juste une pure tuerie et se positionne très clairement comme l’un des plus beau jeu de la Xbox One. Je me suis pris le même genre de claque que lorsque j’ai joué au tout premier Gears, le genre qui te laisse une bonne trace sur le visage pour te dire, regarde et observe. Dommage que tout les jeux ne subissent pas le même lifting. En tout cas je n’ai aucun reproche à lui faire du côté technique, le jeu est très fluide, on observe quasiment pas d’alliasing et les textures sont tellement fines et détaillées que je me suis surpris à m’arrêter de temps à autre pour observer le décor, chose assez rare au final dans un gears vu que d’habitude c’est assez sombre.
concernant la bande son, elle est aussi magistrale, les doublages en VF sont parfaits mais bon ça c’était déjà le cas dans les précédents opus. Les musiques quant à elles, elles accompagnent parfaitement l’ambiance générale du jeu.
En conclusion, j’avais peur que cette nouvelle équipe soit fade et totalement dénuée d’intérêt et je suis heureux de voir que ce n’est pas du tout le cas, l’ADN originel de la série est bel et bien présent dans ce Gears of War 4. Une excellente cuvée de sang qui nous est offerte avec un très bon mode histoire et une grande variété de mode multijoueur. En gros ce Gears est un must have à ne pas loupé, si vous ne savez pas quoi donner à manger à votre Xbox One glissez lui une bonne galette de locustes, elle adorera ça tout autant que vous!

Un énorme collector pour Gears 4
26/04/16
Un gros collector en approche pour Gears of War 4 avec un contenu assez impressionnant. Je vois déjà quelques fans baver sur cette nouvelle!
Dans ce collector livré dans une belle boite, on retrouve quelques bonnes choses:
- Le jeu (oui car bon maintenant il faut le préciser, entre les collector en démat’ et ceux sans jeu…)
- Une Lithographie.
- Un porte-clé en forme de grenade frag.
- Une statue de Fenix Junior sur une moto ( d’une bonne taille, 50cm sur 25cm)
Par contre son prix est lui également colossal, disponible en précommande pour le moment sur Amazon.com pour la modique somme de 249$, sachant que la figurine bien que grande, elle risque d’être comme d’habitude en plastique et pour ce prix là ça fait vraiment chère. En tout cas malgré son prix, ce collector reste un très bon collector.